Emery Taisne : « Aujourd’hui pour négocier des offres, ils ne sont pas en position de force parce que les clubs savent très bien qu’ils sont aux abois » | OneFootball

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·8 août 2022

Emery Taisne : « Aujourd’hui pour négocier des offres, ils ne sont pas en position de force parce que les clubs savent très bien qu’ils sont aux abois »

Image de l'article :Emery Taisne : « Aujourd’hui pour négocier des offres, ils ne sont pas en position de force parce que les clubs savent très bien qu’ils sont aux abois »
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(Photo by Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport) – Photo by Icon sport

Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Emery Taisne, journaliste pour L’Equipe, est revenu sur l’article qu’il a écrit concernant la demande du club envers certains joueurs, de diminuer leur salaire de 20%. Aujourd’hui le timing est serré et doit faire un peu dans l’urgence. Est-ce qu’on pourrait le prendre comme un aveux de faiblesse ?


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« Un aveu de faiblesse je ne sais pas mais en tout cas comme la nécessité de trouver une solution rapide. C’est vrai qu’au niveau des départs on entend beaucoup de choses. Gérard Lopez s’est exprimé plusieurs fois là dessus pour expliquer qu’il avait des offres sur certains joueurs. Ce qui est vrai sur le cas de Bordeaux c’est qu’aujourd’hui pour négocier des offres, ils ne sont pas en position de force parce que les clubs savent très bien qu’ils sont aux abois donc ce ne sont pas forcément des offres très très hautes, ou en tout cas à la hauteur de leurs espérances, qu’ils reçoivent. C’est une situation un peu bancale. »

Cela serait une petite part d’économies, le reste étant avec la vente de joueurs :

« Le vrai enjeu pour moi mais peut-être que je me trompe, l’avenir me le dira ou pas, ce sont aujourd’hui les lofteurs. Il faut savoir que ce sont quand même des joueurs qui ne jouent pas, qui sont mis à l’écart depuis le 4 Juillet, qui s’entraînent avec la réserve, donc plus aucun contact avec le groupe pro. En l’occurrence ce sont quand même eux aujourd’hui qui ont les plus gros salaires de l’effectif. Rémi Oudin qui est peut-être à 130 000, Mbaye Niang qui est à 95 000… Ce sont ces joueurs là dont il faut se séparer. »

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