Donatien Rodriguez (Girondins Socios) : “On a un argument : c’est le nombre. Il ne faut pas que l’investisseur ait peur de nous. On est là pour aider” | OneFootball

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·25 août 2024

Donatien Rodriguez (Girondins Socios) : “On a un argument : c’est le nombre. Il ne faut pas que l’investisseur ait peur de nous. On est là pour aider”

Image de l'article :Donatien Rodriguez (Girondins Socios) : “On a un argument : c’est le nombre. Il ne faut pas que l’investisseur ait peur de nous. On est là pour aider”

Pour Bordeaux Le Mag, l’un des représentants de Girondins SociosDonatien Rodriguez, a expliqué les arguments qu’aura l’association pour se faire accepter du prochain propriétaire des Girondins de Bordeaux.

« En fait, on n’en a qu’un d’argument : c’est le nombre. L’argent, je ne dirais pas qu’il est accessoire car il est important pour rentrer dans un capital, mais c’est le nombre. Inviter un investisseur à nous rencontrer parce que nous sommes 20-25000 Socios… Normalement, si vous reprenez le club, vous avez envie de discuter avec les supporters. Plus on sera, plus on aura éventuellement du poids. Le but n’est pas de mettre des bâtons dans les roues à un investisseur, il ne faut pas qu’il ait peur de nous. On est là pour aider. On s‘arme de fonds pour pouvoir éventuellement l’aider, et forcer un peu à la discussion. Mais c’est très important, le plus important pour nous, et c’est ce qu’on martèle, c’est le nombre, le plus de supporters possibles, et même je dirais d’amoureux du football. Aujourd’hui, on a des adhésions de personnes qui ne sont pas supportrices des Girondins de Bordeaux, même des marseillais et des lyonnais. Ils se disent qu’ils doivent revoir les Girondins de Bordeaux dans l’élite du football »

Est-il surpris de toutes les adhésions lors des premiers jours ?


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« Non, je ne suis pas surpris. Je vis à l’étranger, en République Tchèque. Quand je me balade avec le maillot des Girondins je me fais arrêter parce qu’on a eu des joueurs tchèques dans notre équipe, parce qu’on a battu le Slavia en 96… Donc non, je ne suis pas surpris. Peut-être dans l’engouement, mais c’est peut-être une résultante de notre situation à l’instant T, des gens qui ont peur que le club disparaisse »

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