Considéré comme le "nouveau Messi", Bojan revient sur ses problèmes d'anxiété | OneFootball

Bojan Krkic a révélé avoir des attaques d'anxiété paralysantes qui, selon lui, l'ont empêché d'atteindre son plein potentiel en tant que footballeur. L'attaquant a eu un grand impact à Barcelone quand il a fait son apparition sur la scène en tant qu'adolescent, faisant naître des comparaisons inévitables avec Lionel Messi. Mais en dépit de battre le record de Messi en tant que plus jeune débutant au club catalan et de faire plus de 100 apparitions, Bojan a lutté pour se faire une place régulière dans la première équipe des Blaugrana. Il a évoulué dans des équipes comme la Roma, Milan et l'Ajax, avant de passer une partie de la saison en prêt à Alaves après trois ans à Stoke City désormais relégué en Premier League. Et il a maintenant avoué que les blocages psychologiques l'ont retenu tout au long de sa carrière. "Tout est arrivé très vite. En termes de football, cela s'est bien passé", a expliqué le joueur de 27 ans au Guardian. "Je devais vivre avec ça et les gens disent que ma carrière n'a pas été comme prévu, quand je suis arrivé, c'était 'nouveau Messi' Eh bien, oui, si tu me compares avec Messi ... mais à quelle carrière ils s'attendaient? "Et il y a beaucoup de choses que les gens ne savaient pas, je ne suis pas allé au Championnat d'Europe [2008] à cause de problèmes d'anxiété mais on a dit que je partais en vacances. On a dit que j'avais une gastro-entérite quand j'ai eu une crise d'angoisse, mais personne ne veut en parler, le football ne s'intéresse pas à ça. "L'anxiété affecte tout le monde différemment, j'ai parlé à quelqu'un qui sentait que son cœur battait 1 000 fois par minute, avec moi, c'était un vertige, je me sentais malade, de façon constante, 24 heures sur 24e, dit Bojan.  "Les gens n'apprécient pas ce que vous faites, il y a cette phrase : 'Voyons voir si Bojan revient à son meilleur niveau'. Mais quel est le meilleur niveau? Chaque saison, j'ai atteint ce niveau, parfois plus régulièrement, parfois moins, mais J'ai toujours bien rivalisé."