Clément Michelin : “Je ne peux pas dévoiler tout ce que je ressens à ce moment-là parce qu’il y a beaucoup de choses. Mais oui, il y a de la tristesse, de l’énervement, du dégoût…” | OneFootball

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·13 septembre 2024

Clément Michelin : “Je ne peux pas dévoiler tout ce que je ressens à ce moment-là parce qu’il y a beaucoup de choses. Mais oui, il y a de la tristesse, de l’énervement, du dégoût…”

Image de l'article :Clément Michelin : “Je ne peux pas dévoiler tout ce que je ressens à ce moment-là parce qu’il y a beaucoup de choses. Mais oui, il y a de la tristesse, de l’énervement, du dégoût…”

Pour 90football, l’ancien latéral des Girondins de Bordeaux, Clément Michelin, s’est remémoré le moment où les joueurs apprennent que leur Club renonce au statut pro.

« On est en pleine préparation avec l’équipe, et on suit une prépa normale de présaison avec la reprise qui se passe bien, avec un coach qui fait tout pour qu’on ne pense pas à ce qu’il y a autour, même si c’est dur à gérer. On a l’espoir, comme les années précédentes, que tout se passe bien. On essaye de se préparer au maximum pour la saison afin de remplir nos objectifs ».

Cela signifiait notamment la fin des contrats…


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« Je ne peux pas dévoiler tout ce que je ressens à ce moment-là parce qu’il y a beaucoup de choses. Mais oui, il y a de la tristesse, de l’énervement, du dégoût… Mais ce qui faisait le plus mal c’est de se rendre compte que… Il y a de belles personnes dans ce club, et je prends l’exemple d’un ou deux kinés qui sont là depuis vingt ans…. Quand tu réfléchis et que tu te mets à la place des autres, tu te dis que ça doit être un choc pour eux aussi. C’est pour ça que j’ai vraiment mis mon cas personnel de côté. J’ai essayé de profiter au maximum avec ces personnes-là, mais c’était de la tristesse, de la peine, et limite à ne pas y croire… On se dit que ce n’est pas possible. Mais au final, ça devient une réalité, et après tu dois rebondir. Ça aussi, ça fait bizarre, car tu as l’impression que la vie reprend son cours, qu’il faut oublier ce qui s’est passé, mais bon, c’est dur quand même de passer à autre chose ».

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