😱 Ces joueurs qui ont joué pour des clubs rivaux en Europe 🔥 | OneFootball

Ces transferts ont créé un sentiment de trahison chez de nombreux supporters !

Le Bayern Munich a officialisé, ce vendredi, la signature de Raphaël Guerreiro, lui qui venait de passer sept ans à Dortmund. Un transfert qui n’a pas plus aux supporters du Borussia, mais qui n’est pas un cas isolé. Retour sur quelques exemples de joueurs qui ont porté le maillot de clubs rivaux en Europe.

Ronaldo (FC Barcelone, Real Madrid, Inter Milan et Milan AC)

Peut-être le plus connu, celui qui a le plus cassé les barrières de la rivalité en tout cas, puisque « R9 » a réalisé deux fois l’exploit de jouer pour deux clubs rivaux. Auteur d’une saison 1996-1997 monumentale à Barcelone, l’attaquant brésilien est pourtant estampillé Real Madrid, vu comme le fer de lance des Galactiques, pour qui il a joué de 2002 à 2007.

Mais on oublie souvent son passage au Milan AC juste après, qui avait froissé les supporters de l’Inter, dont il avait fait les beau jours entre 1997 et 2002. Ronaldo aura au moins eu le mérite d’être bon partout.

Zlatan Ibrahimovic (Juventus, Inter Milan, Milan AC)

Le roi de la provocation ne pouvait pas être absent de cette liste. Désireux de quitter la Juve (2004-2006) après l’affaire des matches truqués et le rétrogradation en Serie B, il avait déjà fait beaucoup parler en rejoignant l’Inter (2006-2009).

Pas suffisant pour Ibra, qui rejoindra ensuite (après une saison au Barca) le rival honni, le Milan AC. Il y fait même deux passages (2010-2012, 2020-2023) et termine sa carrière chez les Rossoneri.

Robert Lewandowski (Borussia Dortmund, Bayern Munich)

L’attaquant polonais s’est affirmé comme l’un des meilleurs buteurs au monde pendant ses années à Dortmund sous la houlette de Jurgen Klopp (2010-2014).

De quoi pousser le Bayern à se l’accaparer (2014-2022). Un schéma devenu classique, mais qui n’avait pas manqué de choquer les supporters du Borussia.

Andrea Pirlo (Milan AC, Juventus)

Joueur historique du grand Milan AC des années 2000 (2001-2011, 401 matchs), Andrea Pirlo a pourtant fait ses preuves à l’Inter Milan dans un premier temps (1998-2001).

Mais c’est surtout son transfert à la Juventus (2011-2015) qui avait fait parler. Un choix payant puisqu’il s’y était relancé avec brio, sans perdre le respect des supporters du Milan AC.

Luis Figo (FC Barcelone, Real Madrid)

C’est l’un des joueurs qui a le plus exacerbé une rivalité historique, l’un des transferts qui a le plus provoqué le sentiment de trahison, vu comme un scandale côté barcelonais, à tel point que Netflix y a consacré un documentaire. Après cinq saison brillantes à Barcelone (1995-2000), Luis Figo était l’un des meilleurs joueurs du monde.

Et l’une des têtes d’affiche que Florentino Perez, en passe de devenir président du Real, voulait faire venir pour composer ses Galactiques. Tiraillé, et après de nombreux rebondissements, l’attaquant portugais finira par rejoindre Madrid (2000-2005) où il sera tout aussi performant.

Pedro (AS Rome, Lazio Rome)

Retour en Italie, où l’attaquant espagnol Pedro, après une saison à la Roma (2020-2021) est passé chez l’ennemi juré de la Lazio. Une rareté (la première fois depuis 1977), qui n’avait pas manqué de faire parler chez nos amis transalpins et relancer un peu la rivalité romaine.

Fabrice Fiorèse (Paris Saint-Germain, Marseille)

Les supporters parisiens et marseillais se souviennent encore de ce transfert aussi inattendu que folklorique. Très performant avec le PSG pendant trois saisons (2002-2004), le prometteur milieu offensif Fabrice Fiorèse avait aussi conquis le public avec de nombreux chambrages envers l’OM.

Alors, quand il a prolongé son contrat à l’été 2004, en annonçant « je suis parisien à 300%« , personne ne s’attendait à ce qu’il parte finalement à Marseille trois semaines plus tard (à cause de désaccords avec le club). « Franchement, j’ai vomi » avait même dit Vahid Halihodzic, qui l’avait entraîné à Paris. Fiorèse, pas adopté par le public marseillais à cause des chambrages passés, malgré des déclarations critiques sur Paris ensuite, ne se relèvera jamais de ce choix.

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