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·16 juin 2025
CDM des clubs - "Réduits à néant", "cauchemar américain", la presse espagnole démonte l'Atlético Madrid et encense le PSG

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·16 juin 2025
Au lendemain de la débâcle de l'Atlético Madrid face au PSG (4-0, notes et analyse) lors de la première journée de la Coupe du Monde des Clubs, la presse espagnole a pleinement reconnu l'ultra-domination parisienne, mais n'a pas manqué de pointer du doigt la prestation des Colchoneros.
Le premier gros choc de la Coupe du Monde des Clubs a tourné à la correction. Le PSG a écrasé l'Atlético Madrid (4-0), mais au-delà du score, il n'y avait qu'une seule équipe sur le terrain. Un "cauchemar américain" affirme le quotidien AS. "Réduit à néant par le PSG" a déclaré El País. De nombreux joueurs ont été fantomatiques sur le terrain et dans les colonnes de Marca, les attaquants sont majoritairement ciblés. Giuliano Simeone "plus concentré sur l'arbitre qu'autre chose", Julian Alvarez "a regardé le match de loin" et Antoine Griezmann a été "au même niveau que ces derniers mois". "Ce vieil Atlético est un jouet dans les mains du PSG", peut-on lire dans Marca.
"Trop PSG" est logiquement à la Une de Marca et de Mundo Deportivo, illustrant ainsi la domination totale des Parisiens sur les 90 minutes. AS, bien que l'info soit factuelle, a rappelé que le PSG était "la meilleure équipe d'Europe". "C’est une équipe, pas une addition d’individualités, la plus grande erreur de la dernière décennie, la plus grande erreur du Qatar, obsédé par l’idée de réunir les plus grands joueurs du monde".
Néanmoins, les offensifs ont été défendu par le journaliste Kiko Narvaez. Pour lui, Marcos Llorente, Julian Alvarez et Giuliano Simeone ont été les seuls à "jouer au rythme du PSG". Cependant, Antoine Griezmann n'a pas été épargné. "Il a été dévoré comme toute son équipe par la pression du PSG", relève Mundo Deportivo. "Un Griezmann qui est passé de franchise à fantôme en quelques mois", a critiqué AS. "Le Français, titulaire devant Sorloth, pour que la lumière de ce midi à Los Angeles tombe sur lui comme celle d'un interrogatoire, blanche et directe, sous laquelle rien ne peut être caché".