Brest : l’incroyable gain financier après la victoire en C1 | OneFootball

Après deux victoires de rang en Champions League, le Stade Brestois remporte de coquettes sommes qui ont de quoi changer l'année du club !

La nouvelle édition de la Ligue des champions promet d'être non seulement plus compétitive, mais aussi plus lucrative. Avec une prolongation de la phase initiale jusqu'en janvier et huit matchs par équipe, les gains pour les clubs participants sont en nette hausse. En effet, un total de 2,5 milliards d'euros sera distribué aux équipes, une somme largement supérieure à celle offerte par les autres compétitions européennes, comme l'Europa League (565 millions) ou la Conférence League (285 millions). Chaque victoire en phase de ligue rapporte désormais 2,1 millions d’euros, tandis qu’un match nul est récompensé à hauteur de 700 000 euros. Comparativement, cette manne financière représente une aubaine pour des clubs de plus petite envergure comme Brest, qui, en deux matchs de Ligue des champions, a encaissé l’équivalent de six mois de sa masse salariale, estimée à 700 000 euros par mois.

Un coup de boost énorme pour Brest

Pour l'écurie bretonne, où les salaires sont bien inférieurs à ceux des grandes équipes européennes, ces gains font une énorme différence. Le plus gros salaire du club, Pierre Lees-Melou, touche 182 000 euros par mois, suivi de Romain Del Castillo à 91 000 euros. En comparaison, les 4,2 millions d’euros remportés en deux matchs de Ligue des champions (victoire contre Sturm Graz et le RB Salzburg) représentent bien plus que les salaires annuels cumulés de plusieurs joueurs clés. Cela met en lumière l'écart colossal entre les revenus des grands clubs européens et ceux des équipes plus modestes, mais aussi l’impact que ces compétitions peuvent avoir sur leur stabilité financière et leur compétitivité à long terme.

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