OnzeMondial
·14 juillet 2022
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·14 juillet 2022
À cinq jours du passage des Girondins de Bordeaux devant le CNOSF, Gérard Lopez a réglé un litige financier entre son club portugais de Boavista et Adil Rami.
Si la situation des Girondins de Bordeaux fait les gros titres des médias sportifs français depuis la décision de la DNCG de rétrograder le club au scapulaire en National 1, Gérard Lopez règle parallèlement d'autres soucis.
Si le Royal Excel Mouscron a été relégué en huitième division belge, le club portugais de Boavista était interdit de recrutement, à cause d'un litige avec le défenseur français Adil Rami.
Un problème réglé car selon les informations de L'Equipe, Boavista a versé 200 000 euros plus intérêts, d'indemnité de rupture de contrat au champion du monde français, ce qui va lui permettre d' "homologuer les contrats des joueurs déjà recrutés cet été, comme le défenseur français Vincent Sasso, arrivé libre du Servette FC (D1 suisse)".
Même si la situation de Boavista est toujours préoccupante, la future levée de l'interdiction de recrutement de la FIFA peut être synonyme d'espoir pour les Girondins de Bordeaux, à cinq jours de leur passage devant le CNOSF.
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