Benoit Trémoulinas : “Mathieu Valbuena était très fort, il finissait toujours aux tournois meilleur joueur. Il avait un talent monstre et était vraiment au-dessus du lot” | OneFootball

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·17 juin 2025

Benoit Trémoulinas : “Mathieu Valbuena était très fort, il finissait toujours aux tournois meilleur joueur. Il avait un talent monstre et était vraiment au-dessus du lot”

Image de l'article :Benoit Trémoulinas : “Mathieu Valbuena était très fort, il finissait toujours aux tournois meilleur joueur. Il avait un talent monstre et était vraiment au-dessus du lot”

Sur Colinterview, l’ancien défenseur des Girondins de Bordeaux, Benoit Trémoulinas, s’est remémoré à quel moment il avait eu ce sentiment d’avoir de l’ambition de devenir un jour pro dans le football.

« A partir du moment où on rentre au centre de formation, les choses commencent sérieusement. J’ai fait ma première année à Lormont à 7 ans. Je fais un an là-bas, ça se passait très bien. J’étais débutant mais ils me surclassent avec les Poussins. Mon père a vu qu’il y avait un potentiel. En fin de saison, je vais faire un essai aux Girondins. Je fais une journée là-bas, ils me prennent de suite. J’ai signé en 94 aux Girondins. J’étais Poussin première année, j’étais avec l’équipe B. Je fais trois ou quatre mois, et je monte avec les ‘deuxième année’. Là, il y avait Mathieu Valbuena. On s’est un peu suivis. Lui, il était très fort, il finissait toujours aux tournois meilleur joueur. Il avait un talent monstre et était vraiment au-dessus du lot. Puis après, en moins de 15 ans aux Girondins, c’était le centre de formation. On quitte le cocon familial, et on s’installe au centre de formation. Je ne vais pas mentir, la première année était très compliquée parce que je quittais mon école où j’avais tous mes amis. On s’installe au Haillan, dans une nouvelle école, on est deux par chambre, avec des gens qu’on ne connait pas… On sent qu’il y a un peu l’esprit de compétition qui est là, mais malgré tout quand même c’était toujours bienveillant. On avait une personne qui s’occupait de nous, Guy Dubois, qui était un peu notre deuxième père spirituel, qui arrivait à gérer, à nous écouter quand on avait des coups de moins bien. Cette première année était plus une année de transition pour moi, puis après c’est parti. Mais c’est vrai que ce que je peux dire quand j’étais au centre de formation, jusqu’aux moins de 19 ans, personne n’aurait mis kopeck sur moi ».

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