Bayern Munich , »Top Modèle » | OneFootball

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·28 novembre 2020

Bayern Munich , »Top Modèle »

Image de l'article :Bayern Munich , »Top Modèle »

Cette semaine, le Bayern fait la une de l’hebdomadaire France Football (photo). Dans ce numéro toujours en kiosque, 6 pages sur l’institution et ce qu’il représente en Allemagne, mais aussi dans le monde entier.

  • Pourquoi çà marche
  • De quoi devraient s’inspirer les clubs français
  • Comment çà dure
  • Lizarazu : « Sa force, c’est de traiter les problèmes »

L’article n’apporte rien de véritablement nouveau pour celui qui connait bien le club (puissance financière, esprit familial, « Mia San Mia », anciens joueurs aux postes clés après leur carrière, etc…). L’article évoque par contre la gestion de la crise sanitaire et la clé de la réussite du club dans le cadre du triplé 2020 et l’apothéose du Final 8 de Lisbonne. L’article aborde aussi la capacité du club à renouveler son effectif (objectif : recruter chaque année 1 top player et un grand espoir international), toujours sans dépenser des sommes astronomiques (Sané 45 M€), tout en évoquant l’exception Lucas Hernandez (80 M€).


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« Jouer pour le Bayern, ça représente un peu plus que d’aller au travail » (Thomas Müller)

Bixente Lazarazu livre aussi sa vision du Bayern, club qu’il « a (et aura toujours) dans le sang ». La basque y évoque ses débuts et reste admiratif de la capacité du club à gérer les problèmes avec diligence et justice, évoquant notamment son différent avec Matthäus qu’il giflera à l’entrainement : le sujet sera traité en 3 jours, sans suites, le basque n’étant pas sanctionné au regard des circonstances alors qu’il avait osé s’opposer à l’influente personnalité de Lothar Matthäus, incontournable leader et capitaine du Bayern et de l’équipe d’Allemagne.

Les personnalités des Beckenbauer, Hoeness et autres Rummenigge sont évoquées, de façon très élogieuses, mais sont aussi passées sous silences les pénibles dernières années de règne d’Uli Hoeness (celui qui a aussi fait ce que le Bayern est devenu aujourd’hui) et notamment sa pleine et entière responsabilité sur l’échec d’un Niko Kovac, qu’il aura choisi, imposé et confirmé contre l’avis de nombreux membres du board qui ne voulaient (pouvaient) pas s’opposer aux décisions d’U Hoeness.

Cela montre une fois encore que l’institution FC Bayer,  primera toujours sur les hommes qui font pourtant sa force et sa richesse. Mia San Mia.

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