Bayern Munich : le président revient sur l'arrivée de Kane et fait une grosse annonce sur Rice | OneFootball

Le président du Bayern Munich est revenu sur les deux gros dossiers chauds de l'été côté bavarois.

Cet été, le Bayern Munich n'a pas hésité à sortir le chéquier pour faire venir Harry Kane. Désireux de remplacer Robert Lewandowski, parti l'été d'avant au FC Barcelone, Herbert Hainer a déclaré qu'un joueur comme Kane valait ce prix : "Harry Kane n'a pas coûté plus de 100 millions à moins que nous gagnions ceci, ceci et cela dans les prochaines saisons. Hors bonus, nous sommes en dessous de 100 millions d'euros. Nous savions que nous avions besoin d'un nouveau numéro 9. Mais il n'y a que quelques attaquants dans cette catégorie qui, d'une part, nous conviennent et, d'autre part, nous rendent meilleurs. Et comme il n’y en a que quelques-uns, ils ont un prix. Avec Harry Kane, nous avons enfin à nouveau une garantie de but - il se tient là où un attaquant doit se tenir et il fait aussi énormément de passes décisives" a-t-il expliqué dans les colonnes du Frankfurter Allgemeine.

Une grosse somme pour Kane, pas pour Rice !

Interrogé sur un possible changement de philosophie sur le mercato, le président bavarois a tenu à faire une grosse annonce : "Personne n'a à s'inquiéter de cela. Le FC Bayern a réalisé ce transfert sur la base d'une concentration sportive maximale tout en étant économiquement sérieux. Nous ne ferons rien qui puisse mettre le club en difficulté. Harry Kane a été un très bon transfert. C'est quelqu'un qui travaille incroyablement méticuleusement et qui prête attention à tous les détails tels que la santé et la nutrition. Nous sommes convaincus qu'il peut jouer à ce niveau pendant de nombreuses années encore."

Enfin, il a expliqué que ce transfert était une exception et il a utilisé l'exemple Declan Rice pour le prouver : "Ces frais resteront l'exception. Declan Rice, par exemple, a été mentionné et discuté. Arsenal l'a acheté pour plus de 120 millions d'euros. On aurait pu essayer aussi, mais on ne voulait pas dans ces conditions. Avec Declan Rice, nous étions d'avis que, compte tenu de nos possibilités financières, il fallait se fixer d'autres priorités. Ce qui reste, c'est le club. C'est pourquoi il faut prendre des décisions dans l'intérêt du club."

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