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·13 juillet 2025

Avis d’expert : « La Coupe du monde des clubs 2025 terminée, les États-Unis sont-ils prêts à accueil

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Les points d’exclamation ne manquent pas autour de l’organisation de la Coupe du monde 2026 par les États-Unis.


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Avis d’expert : « La Coupe du monde des clubs 2025 terminée, les États-Unis sont-ils prêts à accueil

Alors que le rideau tombe sur la Coupe du monde des clubs de la FIFA, qui a offert de nombreux matchs divertissants et intenses entre les meilleures équipes dans plusieurs villes américaines, une question demeure : les États-Unis seront-ils capables d’offrir une expérience inoubliable aux supporters lors de la Coupe du monde de la FIFA 2026 dans sa version élargie ?

Dans cette optique, FootAfrica a invité Waheed Rizk Al-Masri, journaliste sportif fort de plus de 30 ans d’expérience dans les médias sportifs et correspondant pour la rubrique sport de la chaîne Al Arabiya, afin de recueillir son avis sur la récente Coupe du monde des clubs FIFA et sur la Coupe du monde 2026 à venir.

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Waheed Rizk Al-Masri devant le MetLife Stadium

Question 1 :

Après la Coupe du monde des clubs 2025, organisée pour la première fois aux États-Unis, pensez-vous que le pays a su gérer une compétition de cette envergure ou a-t-il rencontré d’importants défis ?

Réponse : Les États-Unis ont effectivement été confrontés à des difficultés logistiques, notamment en raison des conditions météorologiques. Ce tournoi peut être considéré comme un test préliminaire en vue de l’organisation de la Coupe du monde 2026, et il a permis de dégager des enseignements cruciaux dont les organisateurs devront tenir compte, notamment dans le choix des horaires des matchs et la préférence pour des stades couverts ou fermés autant que possible.

En repensant à la Coupe du monde 1994, les États-Unis seront-ils capables de surmonter les problèmes rencontrés à l’époque et d’offrir une expérience exceptionnelle aux fans lors de l’édition 2026 en été ?

Il existe des différences majeures entre les éditions 1994 et 2026, la plus notable étant l’augmentation du nombre d’équipes participantes à 48 pour la première fois dans l’histoire de la compétition, ce qui représente un défi organisationnel en soi. Néanmoins, les organisateurs et la FIFA disposent d’une année entière pour optimiser la préparation et éviter tout faux pas, dans le but d’offrir une édition à la hauteur des attentes des supporters.

Au vu des performances tout au long du tournoi, le PSG semble être le favori pour décrocher le titre, mais tout dépendra de sa capacité à maintenir son niveau de jeu en finale. Il faut rappeler que les résultats passés ne font pas le match, c’est la prestation du jour qui compte. De son côté, l’entraîneur de Chelsea cherchera à exploiter les forces de son équipe et à combler les faiblesses, tout en misant sur la capacité à pousser l’adversaire à la faute pour en tirer profit.

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