Ancelotti : "La non entrée de Güler ? Je n'ai pas à donner d'explications" | OneFootball

L'entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, a analysé la victoire de son équipe contre Séville au Bernabeu.

Comment résumeriez-vous le match ? "C'était une lutte, on s'est battu jusqu'à la fin. On a joué avec beaucoup d'intensité jusqu'à la fin du match, on a jamais perdu le contrôle et on a réussi à gagner. On a généré beaucoup d'occasions et le but est finalement arrivé... C'était mérité."

Le caractère de l'équipe : "Je suis fier de tout. Du caractère, de la personnalité de l'équipe. Le sacrifice dont elle fait preuve. On a pris très peu de risques en maintenant l'équilibre et c'est pour ça qu'on a été dans le match 90 minutes."

Le but : "C'est un grand but. Un grand contrôle. Il est entré frais et il nous a aidés dans ce match. Il vaut trois points."

Sergio Ramos : "Il reste dans notre coeur, pour tout ce qu'il a accompli et apporté à ce club. On lui sera éternellement reconnaissant. On l'aime beaucoup."

Comment a-t-on célébré le but de Modric dans les vestiaires ? "On l'a beaucoup célébré parce qu'il l'a mérité et qu'il a marqué un grand but. C'est compliqué de le laisser sur le banc mais c'est un exemple pour tout l'effectif."

Les adieux de Modric : "Je crois que son destin, il l'a entre ses mains. Il faut seulement attendre sa décision."

Lui et les arbitres : "Je pense que les nouvelles normes du football sont difficiles pour nous, les gens du football. Le VAR est là pour corriger des erreurs mais Nacho a aussi touché le ballon, pas que le pied. Ce n'est pas un problème d'aujourd'hui, c'est un problème général depuis l'arrivée du VAR. Pour moi, il n'aurait pas dû intervenir aujourd'hui car ce n'était pas une erreur."

Le match de Séville : "Pour moi, ça a été un grand match avec beaucoup d'intensité, beaucoup d'équilibre des deux côtés. Quand tu n'as pas Bellingham ou Joselu, il faut jouer en combinant dans de petits espaces parce qu'il n'y a pas de point de référence. Je suis très satisfait."

Comment on gère le cas Modric ? "C'est très compliqué à gérer. Je comprends ce que peut penser Modric. Quand il ne joue pas, il est un peu triste... Tout le monde pense à sa fin de carrière mais lui non. On ne dirait pas un joueur de 39 ans."

Arda Güler devait entrer... "J'avais une idée en tête avant le but de Modric et une autre ensuite. Ce n'est pas si compliqué et je n'ai pas à donner des explications sur ça. Je pense qu'il le comprend et s'il ne le comprend pas, ce n'est pas grave."

Il y avait de la colère des joueurs envers l'arbitre : "C'est vrai qu'en première période, nous avons beaucoup protesté à cause du but refusé et on a perdu le fil du match."