Albert Riera : “Si on me dit ‘que des jeunes, on veut rester en Ligue 2, on veut vendre des joueurs’, c’est un projet aussi. Mais par rapport à l’histoire de ce club, non” | OneFootball

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·15 mai 2024

Albert Riera : “Si on me dit ‘que des jeunes, on veut rester en Ligue 2, on veut vendre des joueurs’, c’est un projet aussi. Mais par rapport à l’histoire de ce club, non”

Image de l'article :Albert Riera : “Si on me dit ‘que des jeunes, on veut rester en Ligue 2, on veut vendre des joueurs’, c’est un projet aussi. Mais par rapport à l’histoire de ce club, non”

En conférence de presse d’avant match entre les Girondins de Bordeaux et Pau, Albert Riera , qui s’est montré “pressé” pour savoir ce qui allait se passer pour le club et la saison prochaine, n’a cependant pas mis de deadline à sa direction pour connaitre les tenants et les aboutissants.

« Je n’ai pas pensé ça avec une date. Avant, c’est mieux, mais je ne sais pas. On n’a pas besoin d’attendre fin juin, on peut essayer de le faire avant. On a encore du temps, oui. En plus, cet été, c’est un peu plus long que d’habitude, car il y a le championnat d’Europe. On a six semaines et demi d’arrêt, et c’est vrai qu’il y a plus de temps. Normalement, la coupure, c’est quatre semaines, parfois trois. Il y a le temps, mais maintenant, c’est la volonté, où on veut aller ? Il nous manque ça, de savoir où on veut aller. Après, si on me dit ‘que des jeunes, on veut rester en Ligue 2, on veut être une équipe qui veut vendre des joueurs’, c’est un projet aussi. Mais par rapport à l’histoire de ce club, non, ce n’est pas un projet. Moi, j’étais venu pour un projet à la hauteur de l’histoire de ce club, ou du club que j’ai connu. Mais on doit d’abord gagner ce championnat, se retrousser les manches, mettre le bleu de travail, et c’est maintenant. Et après, on pensera après plus haut, à l’Europe, mais pas avant ».

En tout cas, dans la liste de joueurs (du moins de caractéristiques de joueurs) transmises à sa direction, il y a aussi la volonté de savoir quels joueurs doivent partir.


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« Oui, ça marche comme ça avec moi. D’abord, quand je suis arrivé, le Président m’a demandé de quels joueurs j’avais besoin, et je regarde d’abord mon équipe. Je regarde les ingrédients que j’ai. Les deux équipes où j’étais, la première fois on a laissé partir quatre joueurs et la seconde cinq joueurs, et on n’a pas recruté autant de joueurs. Parce que j’ai dit non, je n’en avais pas besoin. J’avais les caractéristiques que je voulais. Et ici, c’est pour ça qu’avant cette liste, il faut voir les joueurs qui partent. Et si des joueurs sortent, certains peuvent rentrer. Je ne veux pas être ici avec 35 joueurs, en présaison. Il y a donc les joueurs que l’on doit voir partir, et certains qui n’ont pas les caractéristiques que je recherche, ne seront pas ici avec moi. C’est plus facile comme ça, si on a besoin de vendre. D’abord, il y a ce travail à faire, et après la liste ».

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