đŸ—Łïž Albert Riera: “Quand on prend un but ce n’est pas parce que nous l’avons fait mal, c’est aussi parce que l’adversaire l’a fait bien.” | OneFootball

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·22 avril 2024

đŸ—Łïž Albert Riera: “Quand on prend un but ce n’est pas parce que nous l’avons fait mal, c’est aussi parce que l’adversaire l’a fait bien.”

Image de l'article :đŸ—Łïž Albert Riera: “Quand on prend un but ce n’est pas parce que nous l’avons fait mal, c’est aussi parce que l’adversaire l’a fait bien.”

En conférence de presse il revient sur le match face à Saint-Etienne

A la question de savoir si c’est un problùme de mental sur la fin de match:

Non, non, non. La diffĂ©rence c’est que contre Bastia nous prenons trois buts, il nous a manquĂ© l’apprĂ©hension dĂ©fensive et trois contre attaque, aprĂšs la maitrise Ă©tait trĂšs bonne. Contre Saint-Etienne, les 2 buts sont du mĂȘme joueur qui a jouĂ© en L1, il n’y a pas d’infĂ©rioritĂ© numĂ©rique, le premier quand il reçoit le ballon, il arrive vers notre ligne dĂ©fensive Ă  2 contre 4 et il fait un but magnifique, chapeau. On pouvait dĂ©fendre mieux ? Non. On pouvait prĂ©venir de pas perdre le ballon. Pour moi les 2 buts, ce n’est pas parce qu’il y avait une infĂ©rioritĂ© numĂ©rique, c’est parce qu’on a donnĂ©, perdu ses 2 ballons Ă  11 contre 10, ça ne doit pas se passer.

Quand on prend un but ce n’est pas parce que nous l’avons fait mal, c’est aussi parce que l’adversaire l’a fait bien.

On doit travailler la largeur, on doit faire courir, on ne doit pas perdre ces ballons. On a donnĂ© cette vitamine qui donnait la possibilitĂ© de nous attaquer. Sur les changements, je voulais les faire juste avant, parce que je savais qu’il y allait y avoir deux choses. La 1Ăšre, quelques contres attaques, donc jouer plus vite et la 2Ăšme parce qu’il y allait avoir des centres et je fais rentrer des joueurs qui peuvent dĂ©fendre mieux cette situation. Mais on a pas pris le but pour les changements, on a pris le but avant cette situation et le 1er on l’a pris Ă  2 contre 4. Quand on prend un but ce n’est pas parce que nous l’avons fait mal, c’est aussi parce que l’adversaire l’a fait bien.

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