Al-Khelaïfi envoie un message net à propos du Parc des Princes

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Parisfans.fr

·22 novembre 2024

Al-Khelaïfi envoie un message net à propos du Parc des Princes

Jour de l’inauguration du Campus PSG, Nasser Al-Khelaïfi, président du Paris Saint-Germain, a profité de l’émission Rothen S’enflamme sur RMC Sport (exceptionnellement en direct du Campus PSG) pour évoquer le départ à venir du Parc des Princes. Pour le président parisien, c’est une question de vie ou de mort et rappelle que la seule issue est de construire un stade au plus vite.

Al-Khelaïfi « J’aime beaucoup le Parc des Princes, tout le monde l’aime »

« J’aime beaucoup le Parc des Princes, tout le monde l’aime. Si j’écoute mon coeur, on ne part pas. Mais aujourd’hui, tout le monde en Europe a des stades de 100.000, 80.000, 90.000 places… On en a besoin, sinon on est morts. Est-ce une question de vie ou de mort ? Oui. On est en France, mais on joue aussi en Europe. On dispute chaque année la Ligue des champions. Si on veut être au même niveau que les autres clubs, et sur le fair-play financier… On a besoin de notre stade. On n’a pas d’autres solutions.

Al-Khelaïfi « On a besoin de prendre des décisions, de construire le plus vite »

La ville ne nous laisse pas le choix. Je ne fais pas de politique. Pour nous, on a besoin d’un stade prêt dans 3-4 ans, on n’a pas de temps à perdre, sinon on est derrière d’autres clubs en Europe. On a besoin de prendre des décisions, de construire le plus vite. On a quelques options. On a travaillé. On a besoin de construire le nouveau stade le plus vite pour être au niveau où on veut. »

On l’a compris depuis un moment, le président le confirme en direct : l’histoire avec le Parc des Princes semble belle et bien terminée. La mairie ne veut pas vendre, alors il y a urgence pour s’aligner sur les plus grands clubs en Europe. Si les supporters vont crier au scandale et ne se résoudront peut-être pas à accepter cela, d’autres vont embrasser ce changement de cap au nom de l’évolution de leur club.

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Il reste maintenant à définir les contours du nouveau stade, en bonne voie, mais dont on ignore tout encore alors que le président parle de 3 ou 4 ans comme échéance, soit une période assez courte pour un tel projet.