AJ Auxerre – Christophe Pélissier après Montpellier (2-3) : « Il y a des remises en question à faire individuellement parce que ça ne peut pas aller » | OneFootball

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·23 septembre 2024

AJ Auxerre – Christophe Pélissier après Montpellier (2-3) : « Il y a des remises en question à faire individuellement parce que ça ne peut pas aller »

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Les semaines passent, et Auxerre peine à se sortir de sa dynamique difficile du moment. Depuis leur victoire inaugurale face à Nice (2-1), les Bourguignons n’ont plus glané le moindre point et restent donc sur une série de quatre défaites consécutives. Ce dimanche, ils semblaient pourtant avoir fait le plus dur en ouvrant le score contre Montpellier, mais ils ont fini par être rattrapés par leurs vieux démons et notamment une fragilité défensive que Christophe Pélissier évoquait déjà en amont de la rencontre (2-3). L’entraîneur de l’AJA s’est exprimé au micro de nos confrères de France Bleu Auxerre à l’issue de cette cinquième journée de Ligue 1 et est, assez logiquement, apparu particulièrement remonté.


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« […] Le problème, c’est que ça fait trois matches d’affilée où l’on prend trois buts. C’est impossible de gagner des matches et même prendre des points en Ligue 1 quand on prend trois buts de moyenne. Il y a des remises en question à faire individuellement parce que ça ne peut pas aller. Il fallait être meilleur, meilleur dans le jeu aérien. On est battu sur la dimension athlétique. Il faut rectifier ça avec encore plus de volonté et de hargne. Pour moi, on recule trop alors qu’on a la maîtrise, on doit jouer. En première période, on a deux, trois situations dès qu’on a mis de la vitesse dans le jeu. Mais on veut gérer, alors qu’on n’a pas du tout à gérer un résultat. On ne sait pas faire, la preuve. C’est ce qui est rageant. On égalise et on prend un troisième but, on le leur offre sur ce qu’ils veulent : une transition avec une perte de balle à l’intérieur et Adams dont on sait qu’il va très vite sur ces situations. Donc oui, il y a beaucoup de colère aujourd’hui. Quand on fait quatre défaites d’affilée, ce n’est même pas la peine de regarder le classement : on sait qu’on est au fond. »

Photo Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

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