Wahbi Khazri, la rage au ventre, friction avec les tribunes de Nice | OneFootball

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·25 de febrero de 2025

Wahbi Khazri, la rage au ventre, friction avec les tribunes de Nice

Imagen del artículo:Wahbi Khazri, la rage au ventre, friction avec les tribunes de Nice

Cette saison, le spectacle est rarement sur la pelouse pour le MHSC. La dernière petite anecdote désarçonnante nous est offerte par Wahbi Khazri. Non content d’accumuler les avertissements suite à des sautes d’humeur depuis qu’il a commencé à porter les couleurs pailladines, le tunisien a cette fois eu un bref échange avec un spectateur présent au stade ce dimanche, sans autre contexte que ces 8 secondes de vidéo. Désintéressé du terrain, le voilà donc plus que jamais attentif au brouhaha des tribunes.

A noter que, conscient de son incapacité physique à monter les marches, l’attaquant à la silhouette de retraité a préféré inviter son interlocuteur à descendre jusqu’à lui (peut-être d’ailleurs la seule descente qui le préoccupe).


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Problème : même si dans ce cas précis rien n’est condamnable, un tel tempérament serait justifiable pour un joueur offensif si sa contribution statistique était plus importante que ses sanctions. A l’image d’un ancien buteur hargneux mais tellement clinique passé par chez nous, originaire de Sète je crois, dont j’ai oublié le nom… Toujours est-il que le bilan ne joue pas en sa faveur.

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Source : Transfermarkt

Mettre l’ambiance dans les travées adverses et faire rire tout le monde sur des frappes hasardeuses, ça divertit, je l’admets. Mais ça risque pourtant d’être un peu léger (sans mauvais jeu de mot) pour envisager le maintien, ou même, d’un point de vue plus personnel, pour prétendre à un contrat intéressant après la fin des vacances à Montpellier.

Et qu’on soit d’accord sur un point : chaque supporter du club préfèrerait ne pas avoir à railler cet attaquant aux 75 buts dans l’élite du football français, passé par la Premier League et buteur en coupe du monde. Mais comment ne pas s’agacer quand le manque d’investissement et les écarts de comportement sont les seules empreintes laissées par ce joueur trop peu décisif, grassement payé (toujours pas de mauvais jeu de mot) alors même que le club peine à assurer la rémunération de ses employés ? Triste réflexion quand on voit nos cadres plus proches du gabarit d’égéries Five Guys que de joueurs de five.

Puisqu’il ne nous reste rien à espérer, autant rire de cette piètre tendance à l’absence de course et à l’embonpoint – il l’assume lui-même…

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