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·6 de noviembre de 2024
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Le mois de novembre débute et les clubs de Ligue 2 entrent dans le deuxième tiers du championnat, y compris l’USL Dunkerque qui est 4e du classement général avec déjà 7 victoires en 12 journées ! Sur une très bonne dynamique depuis le mois de janvier 2024 et ce mercato hivernal réussi, l’équipe de Luis Castro ne connait pas encore ses limites et se permet de tutoyer les premières places, sans complexe. Alors que son groupe semble parfaitement adhérer au projet de jeu, le technicien portugais livre son analyse sur le style qu’il prône et parle des entraîneurs qui l’inspirent avant un déplacement à Grenoble.
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« Avant d’être un entraîneur de football, je suis avant tout un supporter de football. J’aime le foot et quand je vais au stade, je prends beaucoup de plaisir à regarder des équipes qui jouent de manière offensive. Toute ma vie, j’ai tenté de faire de mes équipes des équipes offensives. Après, il y a des détails qui changent en fonction des joueurs que nous avons […]. J’avais dit l’année dernière qu’après la trêve, nous aurions une équipe très différente. Et depuis janvier, on regarde toutes les équipes les yeux dans les yeux. Même contre Saint-Étienne, qui est normalement une équipe de Ligue 1. Cette saison, j’ai eu plus de temps pour travailler. J’aime beaucoup cette équipe, qui regarde toujours le but adverse, qui joue pour l’attaque. C’est mon idée en tant que coach, mon profil. »
« Le coach du Sporting Rúben Amorim est un coach que je regarde beaucoup, et pas seulement moi mais aussi beaucoup de monde au Portugal. Il est très jeune mais déjà très bon entraîneur. Hier, on a regardé ici Sporting-City (4-1)… C’est l’un des meilleurs entraîneurs au monde. Paulo Fonseca, l’entraîneur du Milan AC, est aussi quelqu’un que j’aime beaucoup. Guardiola aussi. Il y a des choses que j’aime beaucoup, d’autres moins, et après je dois me faire ma propre identité. Mais je regarde toutes les équipes et tous les entraîneurs au top pour voir comment est le foot au meilleur niveau […]. En revanche, si je pense à toutes ces choses mais que je ne suis pas capable de faire la transmission auprès des joueurs, c’est un problème. »
Photo Christophe Saidi/FEP/Icon Sport
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