Théodore Szkudlapski dit Théo, le soyeux milieu de terrain | OneFootball

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·17 de noviembre de 2024

Théodore Szkudlapski dit Théo, le soyeux milieu de terrain

Imagen del artículo:Théodore Szkudlapski dit Théo, le soyeux milieu de terrain

Joueur phare du Club dans les années 1960, le milieu de terrain a eu une part importante dans les succès obtenus tels que les deux titres de champions de France 1961 et 1963, ainsi que la Coupe de France la même année.

Il a été l’un des hommes forts de l’AS Monaco durant les années 60. Arrivé en 1960 en provenance de Rennes, Théodore Szkudlapski, plus couramment appelé Théo, fait partie du premier titre de championnat remporté par l’AS Monaco lors de cette même saison. Il y participe grandement puisqu’il joue 37 matchs pour sept buts inscrits, dont un à l’occasion de son premier match d’une reprise de volée du droit en pleine lucarne.


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Dans l’effectif du doublé Coupe-championnat

Un exploit lorsque l’on sait que le milieu de terrain était un gaucher exclusif. Champion en 1961, il l’est également deux années plus tard en 1963 et remporte dans le même temps la Coupe de France face à l’Olympique Lyonnais pour le premier et seul doublé Coupe-championnat réalisé par l’AS Monaco. Là aussi, il se montre important en disputant 40 matchs toutes compétitions confondues (sept buts) et est évidemment titulaire lors de la finale.

Membre du « carré magique »

Sous les ordres de Lucien Leduc jusqu’en 1963, Théo est alors aligné dans l’entrejeu avec Henri Biancheri, Yvon Douis et Michel Hidalgo pour former un quatuor, appelé « le carré magique ». Soyeux techniquement, c’était en effet un joueur capable de réaliser toujours la bonne passe. Une faculté qui lui permet de figurer parmi les 1 000 meilleurs joueurs du championnat selon un classement réalisé par So Foot, le positionnant à la 215e place.

Je suis né en 1962. Donc à l’époque, je lisais dans Foot Magazine, But ou L’Équipe, les grandes heures du Monaco de Lucien Leduc, Henri Biancheri, Michel Hidalgo et surtout Théo (Théodore Szkudlapski). La presse de l’époque l’aimait beaucoup, et gardait presque une nostalgie de la période où il a joué. Je ne l’ai jamais vu personnellement, mais j’ai lu l’admiration que les journalistes avaient pour lui.

Sous le maillot frappé de la Diagonale, il dispute la bagatelle de 250 matchs (43 buts), dont 215 seulement en Ligue 1 jusqu’en 1967, année de son départ pour le SO Montpellier. Et aura laissé une trace indélébile à l’AS Monaco.

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