Strasbourg refuse une offre colossale pour Bakwa, Montpellier vend une partie du club, Rennes dit adieu à Santamaria | OneFootball

Les dossiers bougent en France et le RSCA poursuit sa ruée vers l’or, tandis que le MHSC divise son institution. En Bretagne, les Rouge et Noirs font leurs adieux à un ancien cadre.

Du côté de l’Alsace, l’heure est à la vente. Après avoir recruté pour plus de 70 millions d’euros, le RC Strasbourg part à la quête de liquidités. Sa collaboration avec BlueCo et Chelsea porte ses fruits, mais c’est désormais au tour du club tricolore de se procurer de l’argent. La vente d’Habib Diarra à Sunderland avait permis aux Strasbourgeois d’engranger 30 millions d’euros, mais ce n’est toujours pas assez. En effet, Dilane Bakwa intéresse l’Angleterre et fait l’objet d’une offre estimée à 28 millions d’euros de la part de Nottingham Forest. Or, le RCSA trouve ce montant trop faible et espère, selon L’Équipe, un prix plus haut (30-35 millions d’euros). D’autres propositions devraient arriver sur la table des négociations durant ce mois d’août.

Toujours dans l’élite, Rennes voit un de ses joueurs rejoindre l’Espagne. Auparavant cadre avec plus de 30 matchs par saison, Baptiste Santamaria va signer à Valence d’après MARCA. Le média rajoute que le Français est même déjà arrivé dans la région, où il a passé ce matin sa visite médicale. Une somme de deux millions d’euros est évoquée pour le milieu, qui aura évolué lors de 127 matchs sous le maillot Rouge et Noir.

Grande décision dans le Sud

En Ligue 2, Montpellier tente avec beaucoup de mal de dégager des économies. Droits TV en baisse, salaires hauts… Laurent Nicollin doit gérer son mercato avec ces tangentes très dérangeantes. Mis à part les départs d’Othmane Maamma (1,3 million d’euros) et Benjamin Lecomte (500 000 euros) en Angleterre, les Montpelliérains ne réussissent pas si bien leur dégraissage. Selon le président du MHSC lui-même, une nouvelle option se dévoile : vendre la section féminine.

Créée en 2001, cette dernière avait remporté deux titres de championne de France en 2004 et 2005. Devant nos confrères journalistes, Nicollin déclare à ce sujet : « Il n’y a pas d’argent, pas de revenus publicitaires. Ça ne se développe pas ». Le dirigeant annonce que des repreneurs seront « peut-être meilleurs » pour gérer les féminines, qui coûtent 3 millions d’euros par an en termes de budget et de frais de fonctionnement.

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