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·23 de junio de 2025
Seattle Sounders/PSG – Brian Schmetzer rappelle que les Parisiens « sont humains »

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·23 de junio de 2025
Ce lundi à 21h (diffusion sur DAZN) le Paris Saint-Germain (1er) affronte les Seattle Sounders (11e) au Lumen Field dans le cadre de la 3e journée de la phase de groupes de la Coupe du Monde des Clubs 2025. En conférence de presse, Brian Schmetzer, coach de l’équipe états-unienne, s’est exprimé au sujet de cette rencontre et de l’adversaire parisien. Notamment en essayant d’évoquer des solutions afin de réussir une grande performance.
Comment stopper tactiquement le PSG ?
C’est le champion d’Europe et ils ne sont peut-être qu’en bas de leur trajectoire, puisqu’ils ont de jeunes joueurs et l’excellent travail de Luis Enrique. Comment les arrêter tactiquement…Eh bien, il faut être sûr que l’intensité est là. Botafogo a fait un grand travail. On va leur prendre des idées.
Il faut pouvoir tenir face à la pression. Il faudra jouer avec courage, bravoure et intelligence.
Comment aborder la rencontre, sans trop en faire ?
On a fait la même préparation pour tous les matchs, que ce soit pour une finale, le championnat ou autre. On a un processus et il ne change pas. Même si on a plus de vidéo quand l’adversaire est nouveau. Même si là, nos joueurs ont sans doute regardé la Ligue des Champions.
On travaille sur les détails, comme d’habitude. On veut que les joueurs ne pensent pas trop, il faut profiter du moment, de l’opportunité. Un tel match n’arrive pas souvent.
Vous avez un exercice spécial pour se préparer ?
Il y a une excitation spéciale, mais on n’a pas un exercice spécial. Luis Enrique est un des meilleurs entraîneurs au monde, c’est un honneur de pouvoir l’affronter. Ce sera un grand défi. Il faut profiter de chaque chose, des petits succès, apprendre ce que l’on peut de ces matchs.
Comment vous profitez du match ?
Il y a des moments où on arrive, on voit les supporters, il y a une grande émotion. Il y a les moments avec le staff où l’on réalise quels adversaires on affronte, où le défi est d’arrêter un immense joueur ou de battre un immense gardien. Il faut le vivre pleinement et en profiter.
Vous avez encore une petite chance de vous qualifiez, le PSG a besoin d’une victoire. C’est un bon moment pour affronter Paris ?
Je ne sais pas s’il y a un bon moment (rires). Mais ils sont humains et Botafogo a obtenu un bon résultat. Eux aussi mettent un pantalon une jambe à la fois. Mais on comprend bien la situation. L’idée est d’être compétitif, la tactique a été bonne contre de grandes équipes.
On a vu des choses similaires dans notre jeu, dans le pressing, la construction du jeu, etc. Mais le niveau est différent, bien sûr. C’est une façon de penser le jeu. Il y a des détails qui séparent nos joueurs de ceux du PSG.
Les coups de pied arrêtés peuvent faire la différence ?
On a beaucoup travaillé sur cet aspect. Différentes équipes ont des idées pour cela. On a des touches longues, les corners sont importants. Parfois, c’est simplement si le centre est bon et que l’on attaque le ballon, c’est aussi simple. On essaye de le travailler. Il y a parfois des préparations spéciales et on verra si cela fonctionne.