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·23 de agosto de 2025
OM - Roberto De Zerbi ouvre la porte à une réconciliation avec Adrien Rabiot !

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·23 de agosto de 2025
Roberto De Zerbi, l'entraîneur de l'OM, s'est longuement exprimé sur l'affaire Adrien Rabiot.
Ce samedi après-midi, devant ses supporters du Stade Vélodrome, l'Olympique de Marseille a retrouvé un peu le sourire en cartonnant le Paris FC (5-2, analyse et notes), lors de la 2ème journée de Ligue 1. À l'issue de cette belle et large victoire, la première de cette nouvelle saison 2025-2026, Roberto De Zerbi (46 ans), l'entraîneur des Ciel-et-Blanc, a profité de son passage en conférence de presse pour faire une nouvelle et longue mise au point sur l'affaire Adrien Rabiot (30 ans).
"Non, je ne suis pas quelqu'un qui claque les portes. Je ne suis pas la seule personne à décider. Adrien (Rabiot) est quelqu'un de bien. Je lui ai donné un conseil, j'espère qu'il me suivra. Si je peux résoudre le problème, je suis prêt à tout, pas seulement pour le joueur et l'homme. C'est important pour le bien de tous, pas seulement pour le football mais aussi pour l'homme. Touché ? J'ai été très agacé par ce qu'il s'est passé cette semaine. J'essaye de me concentrer sur le football. En ce qui concerne Adrien Rabiot, l'espoir que j'ai, et ce n'est pas seulement par rapport à la valeur du joueur mais aussi par rapport à la personne qu'il est. Mais s'il a fait une erreur, j'espère qu'il y a la possibilité de recomposer la chose, que la chose se remette", a lâché le technicien transalpin, face aux journalistes.
"Ce que je viens de dire, je le pense vriament, ça n'enlève en rien à ce que j'ai dit hier (Ndlr, vendredi après-midi, en conférence de presse d'avant-match). Il y a beaucoup de choses à prendre en compte dans une situation délicate. Je suis une bonne personne, comme Pablo (Longoria), Medhi (Benatia) ou Adrien (Rabiot). Ceux qui parlent de situation économique, que l'OM voulait faire de l'argent, ce sont des menteurs, qui n'aiment pas l'OM. On a plus souffert, Medhi (Benatia), Pablo (Longoria), et moi, qu'Adrien (Rabiot) et sa famille. Ça ne sert à rien de chercher des coupables, l'important ce sont les faits, qu'on réussisse à aller de l'avant. Pour le faire, parfois c'est nécessaire de faire un pas en arrière avec humilité, intelligence. On n'est personne, on ne peut pas décider de la vie du club, d'une personne", a ajouté le tacticien italien.
Avec nos journalistes présents sur place au Stade Vélodrome.