OnzeMondial
·19 de diciembre de 2024
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Buteur hier soir face à l'AS Monaco, Gonçalo Ramos confirme bien qu'il est plus que jamais le porte-bonheur de son équipe.
Luis Enrique l'avait pourtant assuré avec ironie à la fin du mois d'octobre, Gonçalo Ramos n'allait pas résoudre tous les maux du Paris Saint-Germain : ""Il revient le 25, ça c’est sûr, mais je ne sais pas de quel mois. Comme ça, on est tous calmes, tranquilles. La solution de tous les maux du monde, il semble que ce soit Gonçalo Ramos désormais. Allez, on va dire qu’il revient le 25, et il va apporter la même chose que ce qu’il apportait avant. C’est un joueur que j’adore, mais de la même manière que j’adore tous les autres joueurs de mon effectif", avait alors indiqué l'entraîneur espagnol qui préférait à l'époque écarter Randal Kolo Muani pour tenter de faux numéros 9 le temps que le Portugais fasse son retour.
Mais visiblement, l'apport d'un véritable attaquant de pointe fait tout de même du bien aux champions de France. Déjà buteur face à Nantes en renard des surfaces, l'ancien du Benfica a remis ça hier dans un peu style de numéro 9 en devançant son adversaire direct pour reprendre de la tête un corner et offrir la victoire à son équipe. Et fatalement, Luis Enrique va bien devoir se rendre compte que oui, cela change le visage de son équipe. Et les statistiques parlent pour Ramos, lui qui est devenu une sorte de porte-bonheur. C'est simple, son club n'a jamais perdu lorsqu'il a été buteur en compétition officielle (11 victoires, 4 nuls). Un chiffre qui en dit long sur l'importance du Portugais de 23 ans.
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