Mercato OM : La somme folle que réclame le Feyenoord pour Paixao | OneFootball

Engagé dans la course pour recruter cet ailier brésilien, les marseillais devront casser leur tirelire pour espérer le faire venir.

Depuis sa prise de fonction en tant que président du directoire de l’Olympique de Marseille, Pablo Longoria a toujours entamé ses mercatos très tôt, et cet été ne dérogera pas à la règle. En effet, les marseillais sont déjà très actifs dans le sens des départs avec le futur départ de Luis Henrique. Un départ qui ne fait que lancer un été qui risque d’être (encore) mouvementé sur la Canebière. Parmi les postes ciblés dans le sens des arrivées, les marseillais souhaitent un joueur à vocation offensif pour certes combler numériquement le départ d’Henrique, mais surtout apporter un peu de qualité sur les flancs en vue des nombreuses échéances qui attendent les hommes de Roberto De Zerbi (Ligue des champions, coupe de France et Ligue 1).

Parmi les nombreux noms évoqués, un semble faire l’unanimité : celui d’Igor Paixao (24 ans). Joueur du Feyenoord Rotterdam, le brésilien sort d’une très belle saison avec les hommes de Robin Van Persie (47 matchs pour 18 buts et 19 passes décisives toutes compétitions confondues) et a tapé dans l’œil de la cellule de recrutement du club phocéen qui souhaite le compter parmi les siens l’année prochaine. Mais débaucher un tel talent n’est pas donné.

Le prix fou de Paixao

Si l’on se fie aux informations de Foot Mercato, les dirigeants du Feyenoord réclameraient pas moins de 40M d’euros pour laisser filer leur pépite. Une somme astronomique qui ferait du natif de Macapá (Brésil) la recrue la plus chère de l’histoire du club marseillais. Face à cette demande, les dirigeants marseillais pourraient réfléchir à deux fois avant d’investir une telle somme en tout début de marché.

Pablo Longoria et sa bande devront vite se décider sur ce dossier, car la concurrence est très rude avec des clubs de Premier League (Leeds, Brighton) ou encore des clubs italiens (Naples) qui disposent de moyens largement supérieurs à ceux des marseillais.

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