Ludovic Obraniak : “Je vais utiliser une expression française mais il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, je suis désolé de le dire” | OneFootball

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·27 de agosto de 2025

Ludovic Obraniak : “Je vais utiliser une expression française mais il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, je suis désolé de le dire”

Imagen del artículo:Ludovic Obraniak : “Je vais utiliser une expression française mais il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, je suis désolé de le dire”

Dans L’Equipe de Greg, Ludovic Obraniak, ancien joueur des Girondins de Bordeaux et maintenant consultant, s’est exprimé suite à la bagarre entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot à Marseille. Le premier vient de partir à Bologne mais le second veut rester à l’OM. Le sujet était :

La direction doit-elle céder ?


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“La moins mauvaise des solutions ? C’est de se rendre compte que tout le monde a pris un peu tout ça à la hâte et que ce n’est pas infamant à un moment donné, de se dire qu’on a pu se tromper. Je vais utiliser une expression française mais il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, je suis désolé de le dire. Quand on se précipite, là il y a des enjeux quand même importants, que ce soit pour la carrière d’un joueur ou que ce soit une année sportive importante pour l’Olympique de Marseille. Je vais vous dire une chose, la morale est à géométrie variable lorsqu’on l’a. J’en ai vu des vertes et des pas mûres. Je rassure Mehdi Benatia, Pablo Longoria, l’institution en a vu d’autres ne vous inquiétez pas, et elle en verra d’autres. Est-ce que quand Cantona va mettre un coup sur un supporter dans la tribune, Alex Ferguson et Manchester l’ont lâché ? Il n’a pas été lâché par le club. Quand Lothar Matthaus et Bixente Lizarazu se mettent sur la gueule… L’institution n’est pas en danger parce que deux joueurs ont eu un différend à un moment donné, et peu importe la hauteur et la violence du différend. C’est plus par rapport aux coéquipiers que t’as une dette, plutôt qu’envers le club.”

Retranscription Girondins4Ever

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