Ludovic Obraniak dépité par le carton rouge pour Mathias De Amorim, et très énervé contre la défense bordelaise sur les buts inscrits par Concarneau | OneFootball

« Mais, c’est ça, le carton rouge ? C’était ça, le carton rouge, vraiment !? Wahou… »

« On veut bien que les bordelais soient un de moins et que ce soit un peu difficile, mais sur le deuxième but de Concarneau, il y a des largesses dans la défense, tant sur l’attaque du porteur de balle, que sur la gestion de l’homme dans la surface de réparation… C’est assez surprenant, mais c’est comme si les Girondins étaient conscients de la situation, et qu’il n’y avait plus non plus grand-chose à jouer… On ne sent pas une motivation débordante non plus ».

« Il y a une gestion du rôle de dernier défenseur, mais aussi d’ouvrir la porte comme ça… Même au centre de formation, on t’explique qu’il faut faire recule-frein, qu’on déporte sur le côté… Là, c’est la Route 66 pour Concarneau… Quand tu es défenseur comme ça, tu ne montes pas, tu n’ouvres pas la porte… Tu recules, tu accompagnes… ».

« Je vois des joueurs qui n’ont pas fait une bonne première saison… Je vois Gaétan Weissbeck à l’entrée de la surface de réparation, je vois son comportement, son état d’esprit… Il n’est pas défenseur, certes, mais il est dans la zone… Il marche, il est spectateur de l’action, alors que tu es en infériorité numérique… mais à quel moment… Ok, la saison est finie, gâchée, elle est ce qu’on veut, mais tu portes le maillot des Girondins de Bordeaux, il faut faire le taff jusqu’au bout ! ».

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