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·23 de marzo de 2025
Ligue 1 - La DTA déjuge un arbitre

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·23 de marzo de 2025
Si cette fois-ci, aucune décision concernant le match de l'AS Saint-Étienne, face à Montpellier, n'a été analysée, pas même le carton rouge récolté par Maxime Bernauer, un arbitre a quant à lui été déjugé par la Direction Technique de l'Arbitrage (DTA). Il s'agit de M. Dechepy qui a vu sa décision d'accorder un pénalty aux Havrais face à l'Olympique Lyonnais, déjugée par la DTA : "Le travail de l’arbitre vidéo montre que le contact entre le genou droit du défenseur et le pied gauche de l’attaquant est particulièrement léger et ne saurait justifier à lui-seul une décision de pénalty. La chute de l'attaquant intervient ensuite dans un second temps de façon désynchronisée et particulièrement exagérée. Par conséquent, le pénalty accordé n’était pas attendu dans cette situation spécifique et, à l'issue du visionnage des images, l’arbitre aurait dû annuler sa décision initiale et reprendre le jeu par une balle à terre au bénéfice du gardien de but dans la surface de réparation."
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En revanche, la DTA donne raison à Mme Frappart pour le but refusé au Stade Rennais face au RC Lens pour une main préalable : "Tout d'abord, aucune image ou plan de caméra n'exclut la possibilité que le ballon ait encore une partie qui surplomberait la ligne de but. L’arbitre vidéo a donc raison de considérer celui-ci comme étant en jeu immédiatement avant le but. D’autre part, l'analyse du contact entre le ballon et le bras est correcte : au regard de la loi 12, la main est sanctionnable car il existe un mouvement du bras vers le ballon, ce qui augmente artificiellement la surface couverte par le corps, sans qu’il soit la conséquence naturelle du mouvement de l’attaquant. L’envoi des images était bien attendu pour une modification de la décision initiale : le but devait donc être refusé."