Endrick : "Marquer, faire des passes décisives et courir... c'est ça ma mentalité !" | OneFootball

Après sa présentation au Santiago Bernabeu devant environ 45 000 personnes, Endrick s'est exprimé face à la presse.

Comment il se sent : "Très heureux, comme je l'ai dit sur le terrain. C'est un rêve depuis petit que de jouer au Real Madrid. Je suis reconnaissant envers Dieu parce que seul lui sait ce qu'il s'est passé. C'est une très grande responsabilité."

Pourquoi ces larmes ? "Je ne l'avais pas prévu mais j'aime le Real depuis petit. J'ai vu Cristiano Ronaldo et grâce à lui j'ai pu en savoir un peu plus sur le club. Il y a quelques années, je recherchais toutes les isoles, comme Butragueño aussi. Depuis petit, je suis amoureux du Real. Je ne voulais pas pleurer mais c'est sorti de mon âme."

Vinicius, Rodrygo et Militao vous ont conseillé ? "Ils m'ont beaucoup aidé. Ils m'ont aussi parlé du Real, des entraînements, des matchs."

Vous envisagez un prêt ? "Quand les négociations ont commencé, la seule chose que j'ai demandé, c'est si le Real était dans les discussions. Aucun autre club ne m'importait. J'espère être ici durante toute ma vie."

Le Real ne fait pas peur à 18 ans ? "Si Dieu m'a donné cette responsabilité c'est parce qu'il sait que je peux être ici. Je dois apprendre, travailler. Et si Dieu le veut, avoir les conseils de Vinicius, Courtois... Ce que je dois faire, c'est apprendre. Plus tu apprends, mieux c'est."

Votre plat espagnol favori ? "J'aime beaucoup la paella mais je ne me suis pas encore habitué à la nourriture espagnole."

Qu'est-ce qui vous a le plus impressionné ? "Sincèrement, je ne sais pas ce que j'ai fait hier ou avant hier. Je suis halluciné."

Comment convaincre Ancelotti de vous mettre dans le 11 ? "Je ne peux pas parler de ces choses. Je suis juste très heureux au Real. Je vais apprendre énormément des joueurs spectaculaires ici. Je veux apprendre et aider."

Comment vous pensez vous adapter au football européen ? "C'est différent. J'ai eu l'occasion de jouer contre l'Espagne au Bernabeu. J'ai pu marquer et voir la vitesse dans les matchs. On note la vitesse du jeu. Ce sont deux football différents."

Quels conseils vous ont donné les Brésiliens ? "On a parlé de ce qui pourrait se passer. De l'hiver, de la chaleur. D'autres sujets plus personnels aussi, sur le Real, les terrains... On a parlé de beaucoup de choses."

Comment avez-vous développé cette mentalité si compétitive ? "Je suis un joueur qui ne prête pas attention aux buts, aux passes décisives. Et ça implique aider l'équipe. L'une des choses que j'aime le plus, c'est marquer. J'espère le faire et je vais courir pour mon équipe, défendre. Marquer, faire des passes, courir. C'est ça ma mentalité !"