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·2 de mayo de 2025

ASSE : "On verra s'il y a un point de pénalité ou pas"

Imagen del artículo:ASSE : "On verra s'il y a un point de pénalité ou pas"

Le compte à rebours est lancé. À trois journées de la fin, l’ASSE joue sa survie dans l’élite. Chaque point compte, chaque match est une finale. Avant la réception d’un Monaco sous pression, Maxime Bernauer a pris la parole ce jeudi en conférence de presse.

Maxime Bernauer (ASSE) : "Quand on est dans notre position, on ne peut pas se permettre d'uniquement jouer sur la qualité de notre effectif. On a vu qu'on en avait. Je pense que les 40 premières minutes contre Lyon, on a montré qu'on était capable de bien jouer au foot. Maintenant, il y a des équipes qui sont aussi capables de bien jouer au foot et qui sont peut-être un peu plus talentueuses que nous. L'âme de Saint-Étienne, ça a toujours été de jouer avec le cœur. Quand on ne met pas ça, on l'a vu à Strasbourg, c'est plus difficile parce que sur la durée du match, peut-être qu'ils ont un peu plus de talent, un peu plus de ressources et c'est tout de suite plus compliqué pour nous.


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Tant que mathématiquement, c'est faisable, il y a un espoir. On est compétiteurs. Il reste trois semaines minimum. On espère trois semaines en restant ou plus s'il a barrage. Comme je t'ai dit tout à l'heure, il reste neuf points. On a montré qu'on était capable, même entre nous, on s'est montré qu'on était capable de le faire comme contre Lyon. Si on est capable de le faire contre Lyon, on doit être capable de le faire contre Monaco. On a encore bon espoir de se maintenir et on doit tout faire pour se maintenir."

La crainte d'une pénalité pour l'ASSE ?

Maxime Bernauer (ASSE) : "Je regarde les matchs parce que je suis passionné de foot, plus que parce que je dois suivre par rapport à notre situation. Même si aujourd'hui, on est derrière le Havre, si par miracle, on arrive à prendre 9 points sur 9, je ne suis pas sûr que ces équipes-là en soient capables de par leur calendrier. On sait qu'on doit faire mieux que le Havre sur les trois derniers matchs, c'est un fait. On verra s'il y a un point de pénalité ou pas. Mais maximum deux points d'écart avec eux, donc notre objectif, c'est de faire au minimum deux points de plus que le Havre sur les trois derniers matchs.

Rarement fait, mais fait. On l'a fait contre Lyon. C'est une équipe qui est très forte, mais qui peut avoir des périodes un peu de moins bien. Je les ai déjà jouées cette année avec le Dynamo, dans des conditions climatiques qui nous ont avantagé. Mais j'ai vu personnellement que sur un match, on peut gagner. J’ai joué contre eux avec le Dynamo. Collectivement, avec le bon état d'esprit, on a réussi à rivaliser avec eux. Aujourd'hui, on est capables de mettre en difficulté ces équipes-là. On l'a montré. Maintenant, il faut qu'on mette tous les ingrédients pour. On sera à domicile. On aura la chance d'avoir plus de 30 000 personnes derrière nous. Et ça doit nous servir pour gagner contre cette équipe-là."

Bernauer le relai naturel de Horneland

Maxime Bernauer (ASSE) : "Je fais pas mal de relais pour le coach, notamment avec la barrière de la langue. Après, c'est quelque chose que je fais aussi naturellement donc ça ne me dérange vraiment pas. Je pense qu'il y a plusieurs personnes qui sont amenées à parler dans le vestiaire, notamment Gautier (Larsonneur) qui est le capitaine. Ça ne m'empêche pas de prendre la parole de temps en temps ou à des moments clés où je sens qu'il y a besoin. C'est quelque chose que je fais assez naturellement et je pense que le vestiaire en a besoin. Surtout dans des saisons où c'est un peu plus compliqué d'essayer de rester positif dans les moments importants et amener ces petits détails qui peuvent faire la différence sur les matchs. Ça a toujours fait partie de moi. C'est assez naturel. Après, je le jauge aussi par rapport au vestiaire. Mais ici, j'ai senti vraiment que c'était un besoin aussi pour le vestiaire de le faire. Et c'est très naturel. Donc, je prends plaisir à ça."

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