Girondins4Ever
·15 de noviembre de 2024
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Dans The Independant, l’attaquant des Girondins de Bordeaux, Andy Carroll, est revenu sur plusieurs moments de sa carrière, à commencer par son transfert à Liverpool.
« J’ai signé à Liverpool alors que j’étais blessé. Et je l’ai fait à un moment où je ne voulais pas vraiment partir. J’étais sur le point de renouveler mon contrat avec Newcastle. C’était difficile. J’avais des problèmes physiques, j’étais très jeune, je n’avais que 21 ans. Je pense que si j’étais allé à Liverpool quelques années plus tard, plus mûr, les choses se seraient mieux passées pour moi. C’était la première fois que je quittais la maison, j’avais la tête ailleurs. Cela n’a pas fonctionné comme je le pensais. Peut-être que je n’étais pas assez bon. Peut-être que je n’étais pas assez mûr. »
Sa plus grande fierté est d’avoir joué à Newcastle, comme son idole.
« Porter le numéro 9 et marquer à St James’ Park est indescriptible, que vous le demandiez à un enfant ou à un adulte. Nous avons tous grandi avec ce rêve. Le réaliser et représenter mon club a été un honneur […] J’ai grandi en regardant jouer Alan Shearer, marquer des buts et voir où il a emmené Newcastle. J’ai aussi vu comment il était capable d’adapter son jeu sur le plan tactique, comment il a surmonté toutes les blessures qu’il a subies pour rester important. C’est une légende »
Lors de ce second passage à Newcastle, personne ne lui a finalement offert de prolongation.
« C’était difficile à accepter car, lors du dernier match de la saison contre Fulham, j’ai parlé à Steve Bruce et il m’a dit qu’il m’appellerait la semaine suivante pour signer un nouveau contrat. Je n’ai plus entendu parler de lui ni ne l’ai revu jusqu’à ce qu’il signe à West Brom. Ne serait-ce que par respect, j’attendais un appel, un message de quelqu’un du club, mais il n’est pas venu. C’était frustrant ».
Quoi qu’il en soit, ses dernières années en Angleterre ont été un supplice.
Ver detalles de la publicación« C’était cauchemar. Je me suis désintéressé de tout. J’étais très déprimé. Je ne sortais pas de chez moi, je devais porter un chapeau si je le faisais. Je détestais tout et tout le monde. Partout où j’allais, on me regardait de haut, on me disait que je devais prendre ma retraite parce que je prenais l’argent, alors que je faisais tout pour revenir. Seules les opérations se sont mal passées ».