Ancelotti raconte s’être fâché contre Bellingham | OneFootball

Carlo Ancelotti s'est adressé aux médias après le premier entraînement du Real Madrid à Charlotte, où l'équipe jouera le troisième match de sa tournée aux États-Unis.

Quelles sont vos face à Chelsea ?Dans la même ligne que ce que j'ai dit après le Clasico, ce sont des matchs de pré-saison, nous devons améliorer la condition individuelle des joueurs et maintenant nous allons donner des minutes à Rodrygo aussi, en première mi-temps, et à Vinicius. C'est la ligne de conduite, ensuite nous reviendrons tous ensemble pour préparer le premier match (Supercoupe de l’UEFA le 14 août).

Il y a sept titres en jeu cette saison...Nous devons nous battre pour les obtenir, et je peux vous assurer que nous allons le faire. Le calendrier est très exigeant, mais nous avons un groupe qui a suffisamment de qualités pour être compétitif dans toutes les compétitions. Comme toujours. C'est l’exigence de ce club.

Vous pouvez battre tous les records...Je ne pense pas aux records, je pense au fait que le premier titre possible est dans quelques jours et que nous devons bien nous préparer et essayer de le gagner pour bien lancer la saison. C'est ce que nous avons en tête en ce moment. Miguel Muñoz est encore loin (14 titres comme entraineur du Real, contre 13  pour Ancelotti), évidemment arriver à ce niveau serait une bonne chose. Pour moi, c'est l'histoire.

Comment vont Rodrygo et Vinicius ?Vinicius a joué son dernier match il y a un mois, je pense qu'il s'est reposé pendant 15 jours et qu'il a ensuite commencé à travailler. Ils ne sont pas comme moi, qui ai passé un mois à ne rien faire et qui suis arrivé gros (rires). Ils arrivent bien, bien préparés, en forme, ils ont juste besoin de minutes. Quand ils seront tous à Madrid, nous devrons travailler ensemble, créer une bonne atmosphère.

Comment avez-vous trouvé Endrick ?Nous devons être patients avec lui, il a montré beaucoup de qualité et de talent. Comme avec Güler l'année dernière, nous ne devons pas mettre la pression sur les jeunes joueurs, il a beaucoup de pression derrière lui, c'est un joueur aimé dans le monde entier, en particulier au Brésil, mais nous devons être patients avec ces joueurs. Surtout avec les jeunes.

Y-a-t-il un plan pour qu'il s'adapte au système le plus rapidement possible ?C'est un avant-centre, il peut parfois jouer comme meneur de jeu, mais sa position sur le terrain est très claire. Il n'est pas comme Bellingham ou Rodrygo, qui peuvent jouer à différents postes. Sa position est très claire.

Les joueurs qui terminent la tournée ont-ils plus de chances de participer à la Super Coupe à Varsovie ?Je pense que la Supercoupe devrait être jouée par ceux qui ont gagné la Ligue des champions (rires). Mais il en manque deux, Kroos et Nacho. Je suis en contact avec ceux qui manquent. Hier, je me suis fâché avec Bellingham (sourire). Je l'ai appelé et il n'a pas répondu. J'ai dit à Vinicius : "Appelle-le toi, il répondra sûrement". Et Vini me l’a passé au téléphone…"