René Girard : “Le mercredi, il rentre dans le vestiaire, comme si de rien n’était… Heureusement pour lui que le porte-manteau était bien costaud (rires)…” | OneFootball

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·15 June 2024

René Girard : “Le mercredi, il rentre dans le vestiaire, comme si de rien n’était… Heureusement pour lui que le porte-manteau était bien costaud (rires)…”

Article image:René Girard : “Le mercredi, il rentre dans le vestiaire, comme si de rien n’était… Heureusement pour lui que le porte-manteau était bien costaud (rires)…”

Pour Le Podcast des Légendes, l’ancien milieu de terrain des Girondins de BordeauxRené Girard, a été questionné sur ses relations avec les journalistes, devant citer “celui qu’il a failli le plus étrangler”. Le nom de Daniel Riolo revient en premier lieu.

« Je vais faire gaffe car si on en trouve un ce soir à moitié mort, on va dire que c’est moi (rires). Oh, il n’y en a pas d’autres, c’est mon ami de RMC (Daniel Riolo, ndlr). Petit bonhomme. Il l’est par la taille aussi, mais c’est un petit, petit bonhomme ».

Y a t-il eu des fois où il était vraiment très près d’en venir aux mains ? Non, mais il a une anecdote avec Didier Roustan.


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« Si j’en suis déjà venu aux mains ? Non… Mais sinon, on joue un match de Coupe d’Europe, Didier Roustan est au match. Pendant le match précédent, il y a deux joueurs qui sont traités de ‘Tontons flingueurs’, c’est Jean-Christophe Thouvenel et René Girard. On s’intéresse bien sûr après ça, on lit… On se dit que l’ami Didier, il s’est lâché. C’était ça, c’était le samedi, lors d’un match de championnat. Et donc le mercredi suivant, il rentre dans le vestiaire, comme si de rien n’était… Heureusement que le porte-manteau était bien costaud (rires). Ouais, il était rentré dans le vestiaire comme si de rien n’était, alors qu’il nous avait traité de tontons flingueurs… Je crois que c’était lors d’un match contre Saint-Etienne, et je ne sais pas si on n’avait pas gagné 7-1, ou un truc comme ça […] Le mercredi donc, il rentre, ‘viens voir toi ici’ (rires). Qu’il soit grand ? Oui, mais bon… Des fois, tu décuples la force, tu ne la sens plus (rires). Mais c’est quelque chose de rigolo, on ne l’avait pas tapé. C’était juste lui dire qu’il fallait faire attention, quand même… ».

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