Mercato : L'ASSE trop gourmande pour Trabzonspor ? | OneFootball

En fin de contrat en juin 2026, Benjamin Bouchouari ne semble pas proche d’une prolongation. Suivi par Trabzonspor, le milieu de terrain pourrait quitter le Forez si l’ASSE reçoit une offre satisfaisante.

L’AS Saint-Étienne s’est installée à Aix-les-Bains pour un stage plusieurs jours censé préparer au mieux la reprise de la Ligue 2. Parmi les joueurs présents figure Benjamin Bouchouari, dont la situation personnelle reste entourée d’un flou stratégique. Le milieu belgo-marocain, qui entre dans sa dernière année de contrat, n’a pour l’heure entamé aucune discussion concrète pour une prolongation.

Auteur d’une saison réussie en Ligue 1 malgré les blessures, Bouchouari a disputé 26 rencontres sous les ordres d’Olivier Dall’Oglio puis d’Eirik Horneland. Son profil dynamique et technique a marqué les esprits, au point d’attirer l’attention de Trabzonspor, 7ᵉ du dernier championnat turc. Le club ottoman suit de près l’évolution du dossier.

Mercato : 5 millions d’euros, trop pour Trabzonspor ?

La direction stéphanoise, consciente de la valeur marchande de son joueur, espère récupérer autour de 5 millions d’euros en cas de transfert ! Un montant jugé élevé du côté de Trabzonspor, qui temporise pour l’instant selon Le Progrès. De son côté, Bouchouari ne ferme pas la porte à un départ, mais comme souvent, il ne voit aucune offre ferme parvenir malgré les intérêts.

Pour l’ASSE, le dilemme est simple : Les Verts ont la possibilité de conserver un joueur talentueux en prenant le risque de le perdre gratuitement dans un an. A l'instar d'autres joueurs, seule une offre correspondant à leurs attentes permettra d'ourvir la poirte à un départ de Benjamin Bouchouari. Trabzonspor est prévenu.

Le point sur sa condition physique

Blessé au dos en fin de saison, Benjamin Bouchouari reste suivi de près par le staff médical. S’il a participé au départ en stage avec le groupe, il n’est pas encore pleinement opérationnel. Le staff stéphanois, par la voix d’Horneland, s’est montré prudent quant à un retour rapide à la compétition.

Source : Le Progrès