Mercato : Huss Fahmy pourrait rapporter gros à l’ASSE ! | OneFootball

Alors que le mercato estival s’ouvrira dans quelques semaines, une opportunité financière inattendue pourrait bien se présenter à Kilmer Sports Ventures, le groupe propriétaire de l’AS Saint-Étienne (ASSE). En effet, un ancien joueur emblématique du club, William Saliba, pourrait permettre aux Verts d’empocher un joli pactole.

Transféré à Arsenal en juillet 2019 pour une somme avoisinant les 30 à 33 millions d’euros, Saliba avait immédiatement été prêté à l’ASSE pour y terminer une saison de transition. Ce départ, particulièrement lucratif à l’époque, comportait aussi des clauses stratégiques, notamment un pourcentage sur une éventuelle revente.

C’est Huss Fahmy, spécialiste des négociations contractuelles alors en poste chez les Gunners, qui avait intégré cette clause au contrat. Ironie du sort, Fahmy est désormais impliqué dans la gestion de l’ASSE, ce qui pourrait symboliquement transformer cette clause en “cadeau” qu’il aurait laissé derrière lui du côté d’Arsenal.

Le Réal prêt à tout pour Saliba ?

Depuis son arrivée à Londres, William Saliba a franchi les étapes avec brio. Devenu titulaire indiscutable à Arsenal, il s’est également imposé au sein de l’équipe de France. Sa valeur sur le marché ne cesse de grimper, certains estimant qu’elle pourrait dépasser les 80 millions d’euros.

Dans ce contexte, le Real Madrid, toujours à la recherche de jeunes talents d’envergure, se montrerait très intéressé depuis plusieurs mois. Des discussions seraient même en cours selon certaines sources espagnoles. Cette semaine la rumeur est revenue à l’ordre du jour. A en croire les informations de Marca, les Merengues auraient fait de Willam Saliba "l’élu" pour renforcer leur charnière centrale. Les madrilènes le voient comme le futur patron de la défense du Réal.

En cas de transfert, l’ASSE toucherait un pourcentage sur la plus-value réalisée par Arsenal, ce qui représenterait une rentrée d’argent non négligeable, au moment où le club stéphanois tente de retrouver sa gloire passée. Une preuve supplémentaire que les clauses bien négociées peuvent s’avérer décisives, même plusieurs années après une transaction.