Malcom Bokélé : « Je ne paniquais pas par rapport à la situation. Déjà, je pense que j’allais quand même partir du club… » | OneFootball

« C’était un peu compliqué parce que déjà, la situation de Bordeaux s’est dégradée. J’ai dû résilier mon contrat. Je me suis retrouvé libre. J’avais des propositions, des clubs plutôt intéressants ont appelé mon agent. Après, je cherchais vraiment à avoir un projet où tout était réuni. Je sentais qu’il y avait des clubs, parce que je suis libre et que je sors de Bordeaux, c’était une bonne opportunité. Mais je voulais sentir un réel feeling, un vrai truc. Il y a eu des contacts en France oui, mais j’ai préféré faire ce choix ».

« Honnêtement, non, je n’avais pas cette crainte, parce que je savais que j’allais retrouver un projet. Je n’étais pas libre parce que je l’avais décidé, c’était par rapport à la situation du club. Je ne paniquais pas par rapport à la situation. Déjà, je pense que j’allais quand même partir du club… Après, c’est vrai que c’est toujours stressant de se demander où on va aller, dans quel pays… C’était surtout ça le questionnement, mais ça s’est fait vite ».

« Franchement, aujourd’hui, je trouve que je suis dans les temps, si on peut dire ça. Je fais mes saisons, j’avance. J’ai atteint des objectifs rapidement, des objectifs que je n’aurais pas pensé atteindre aussi rapidement. Je suis plutôt content de moi, surtout que j’ai signé pro tardivement, comparé aux joueurs avec qui j’ai pu évoluer. Je suis plutôt content de moi et j’espère que ça va continuer comme ça ».

« Oui, j’ai des rêves, des objectifs. Après, je ne me prends pas la tête clairement. J’essaie de donner la meilleure version de moi-même, de faire les meilleures saisons possibles, d’avancer sans me prendre la tête. Mon plus grand rêve, en club, je n’en ai pas forcément, pas de club en particulier. Mon rêve, vraiment, c’est de jouer avec mon petit frère. Ça c’est un rêve. Je suis le seul défenseur de la famille ».

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