La LFP a empêché un joli clin d'œil pour Stassin | OneFootball

Le jeune attaquant belge qui pourrait devenir, à terme, le joueur le plus cher de l'histoire du club a pris le temps de faire quelques recherches avant de signer à Saint-Étienne, afin d'en savoir plus sur le club qu'il s'apprêtait à rejoindre : "Je me suis intéressé à l'histoire et c'est impressionnant. Il y a eu énormément de grands joueurs ici."

Interviewé par la Dernière Heure, l'attaquant a justement été challengé sur ses connaissances sur l'ASSE, le journaliste Christophe Franken lui demandant ce que lui évoquait les "Poteaux Carrés" : "Euh, ça ne me dit rien. Ah si, c'est en finale européenne avec un ballon qui est ressorti mais qui serait entré si les poteaux avaient été ronds, c'est ça ?"

Et en parlant de "Poteaux Carrés", Lucas Stassin aurait pu faire un joli clin d'œil à l'histoire du club et à cette mythique épopée conclut d'une triste façon du côté de Glasgow. À Westerlo, le néo-Stéphanois évoluait avec le numéro 76 dans le dos, son numéro fétiche. Malheureusement, il a du se rabattre sur un autre chiffre face au refus de la Ligue de Football Professionnel de le voir arborer un nombre aussi grand dans le dos : "Je voulais reprendre mon numéro 76 fétiche mais la Ligue française n'est pas aussi permissive qu'en Pro League pour les numéros. Il ne restait pas beaucoup de choix et j'ai pris le 32, comme le préfixe pour la Belgique."