Guillaume Insou : « Je n’avais pas identifié à mon âge que le centre de formation c’était vraiment une école de la vie » | OneFootball

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·6 October 2024

Guillaume Insou : « Je n’avais pas identifié à mon âge que le centre de formation c’était vraiment une école de la vie »

Article image:Guillaume Insou : « Je n’avais pas identifié à mon âge que le centre de formation c’était vraiment une école de la vie »

Pour Athlètes Reconversion, Guillaume Insou, passé par le centre de formation des Girondins de Bordeaux, est revenu sur son parcours de footballeur, avant qu’il soit détecté par le FCGB.

« Je suis originaire de Fréjus. J’ai commencé à jouer au foot là-bas, et dans la famille il y a déjà une passion pour le football.  Naturellement, j’ai été emmené très tôt à avoir un ballon avec moi. J’ai commencé à jouer à Fréjus dans le centre-ville, dehors, puis j’ai joué en club assez tôt. J’ai été détecté à l’âge de 13 ans, ce qui est jeune. A 14 ans je suis parti à Bordeaux, au centre de formation des Girondins. Là, tu rentres dans un nouveau cursus pour t’amener vers le football pro ».

Il expliqua ce qui fit qu’il s’engagea au centre de formation bordelais.


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« Le centre de formation, pour moi en tout cas… Je n’avais pas identifié à mon âge que le centre de formation c’était vraiment une école de la vie. Mes parents avaient, eux, fait attention à cet aspect scolaire. Moi, je continuais mes études mais surtout je rentrais dans un lieu où j’allais jouer au foot tous les jours. Malgré la distance qu’il y avait, ce n’est pas quelque chose que j’ai subi. Moi, je continuais à être dans le plaisir et dans le football. Après les premières années au centre, là je suis rentré dans quelque chose de plus compétitif, de plus élitiste. Au centre de formation à Bordeaux, il y avait en tout cas un suivi au niveau scolaire qui était intéressant. Après, je pense qu’ils font comme ils peuvent aussi, et c’est ce qui a réussi à rassurer mes parents. Eux, l’aspect sportif, c’était plus m’accompagner dans un rêve d’enfant. Mais l’aspect scolaire restait quelque chose pour eux de plus important que le reste, qu’il y ait un suivi correct. Donc oui, il y avait à Bordeaux ce qu’il fallait ».

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