OnzeMondial
·13 May 2024
In partnership with
Yahoo sportsOnzeMondial
·13 May 2024
Gonçalo Ramos, l'attaquant portugais arrivé au PSG l'été dernier, se livre dans les colonnes du nouveau numéro de Onze Mondial !
Dans les colonnes du nouveau numéro de Onze Mondial disponible en kiosques et sur notre boutique en ligne, Gonçalo Ramos se livre en exclusivité. Son adaptation, Benfica, son premier bilan, Cristiano Ronaldo... Morceaux choisis.
« Quand je suis arrivĂ©, il y a eu cette pĂ©riode dâadaptation dĂ©licate, ensuite, jâai pris le temps de visiter la ville, et maintenant, je me sens comme chez moi. Jâai dĂ©jĂ Ă©tĂ© sur les Champs-ĂlysĂ©es, jâai vu la Tour Eiffel, câĂ©tait trĂšs spĂ©cial. Je me suis Ă©galement baladĂ© autour du Louvre, mais sans avoir vu le musĂ©e. Enfin jâai fait le marchĂ© de NoĂ«l, câĂ©tait sympa. Et puis jâarrive Ă conduire dans Paris sans GPS donc ce premier objectif est atteint. (rires). Mon adaptation au club ? Assez bien parce quâil y a plusieurs Portugais dans lâĂ©quipe qui mâont bien reçu et bien aidĂ©. Il y a aussi des Espagnols, et mĂȘme les Français qui parlent espagnol mâont bien intĂ©grĂ©. Maintenant, jâai lâimpression que cela fait plusieurs annĂ©es que je suis Ă Paris alors que je suis seulement arrivĂ© en aoĂ»t ! »
« Câest un travail trĂšs bien fait par tous les membres du club : les dirigeants, les joueurs, les recruteurs, les cuisiniers⊠Il y a tellement de talents que câest impossible de se tromper. Câest pour ça que chaque annĂ©e, il y au moins un potentiel dont on sait que ça va le faire. Ensuite, le Benfica est une marque. Câest une marque rĂ©putĂ©e. Câest donc facile dâacheter lĂ -bas car tout le monde sait que les joueurs sont bons. Enfin, avant de former de bons joueurs, le Benfica forme de bonnes personnes. Lâaspect humain est trĂšs important quand on arrive au haut niveau. »
« Je savais que jâarrivais dans un grand club, mais je ne pensais pas quâil serait aussi grand. Je mâexplique. Dans lâorganisation, les conditions, lâaide, tout le monde est aux petits soins pour nous. Si par exemple je veux cette table qui fait baby-foot, je sais qui appeler et je pense que je la retrouve chez moi le soir mĂȘme. »
« Il y a eu des hauts et des bas. Quand je suis arrivĂ©, lâadaptation fut difficile, je nâai pas rĂ©ussi Ă montrer qui jâĂ©tais, mais je pense que câest normal. AprĂšs, ça allait mieux mais jâai eu une rechute en dĂ©cembre. Je suis tombĂ© malade, jâai perdu 8 kilos. Jâai eu de la fiĂšvre, je nâarrivais pas Ă manger, jâai mĂȘme dĂ» ĂȘtre hospitalisĂ©. »
« Je joue avec mon idole ! Câest un rĂȘve. La premiĂšre fois que tu tâentraĂźnes avec lui, tu as lâimpression que ce nâest pas rĂ©el, il a lâair tellement inatteignable. Ăa, câest pour la premiĂšre impression. Maintenant, jâai mis tout ça de cĂŽtĂ© et quand je rejoins la sĂ©lection, les choses se passent normalement. Il y a bien sĂ»r un respect maximal, mais câest diffĂ©rent de la premiĂšre fois, câĂ©tait trĂšs impactant. »
Retrouvez l'intégralité de l'interview de Gonçalo Ramos dans le nouveau numéro de Onze Mondial disponible en kiosques et sur notre boutique en ligne.
Par Alexandre Teixeira
Retrouvez l'actualité du monde du football en France et dans le monde sur notre site avec nos reporters au coeur des clubs.