📝 Euro féminin : le groupe A promet des étincelles | OneFootball

L’Euro féminin démarre fort avec un Groupe A où chaque point comptera. La Suisse, pays hôte, devra gérer la pression à domicile, tandis que la Norvège, l’Islande et la Finlande rêvent de jouer les trouble-fêtes.

Les équipes

Pays organisateur, la Suisse retrouvera la Norvège (double championne, 1987 et 1993), l’Islande et la Finlande.

Sur le papier, le tirage est plutôt clément pour la Nati, qui évite les cadors comme l’Angleterre, les Pays-Bas ou la Suède. Mais attention : la Norvège reste un gros morceau et beaucoup la voient comme l’outsider à surveiller.

Le favori

La Norvège a un passé glorieux, mais reste sur des campagnes ratées : une sortie dès les groupes à l’Euro 2022 (avec un 8-0 infligé par l’Angleterre) et une élimination précoce au Mondial 2023. Pourtant, l’effectif impressionne : Graham Hansen (Barça), Reiten (Chelsea), Maanum (Arsenal) et Hegerberg (Lyon). Reste à voir si elles sauront enfin répondre présentes au rendez-vous.

Le choc : Suisse vs Norvège

Le match d’ouverture opposera la Finlande à l’Islande, un avant-goût avant l’affiche du soir : Suisse – Norvège.

Un succès d’entrée placerait une équipe en position idéale. En revanche, une défaite compliquerait déjà sérieusement la suite. Les enjeux sont clairs dès le coup d’envoi.

Joueuses clés

Lia Wälti (Suisse) – Patronne du milieu et capitaine des Nati, Wälti est le métronome de l’équipe. Elle apporte sérénité quand ça tangue et assure la gestion du tempo quand tout roule.

Caroline Graham Hansen (Norvège) – Dribbleuse d’élite, créatrice hors pair et buteuse redoutable, l’ailière du Barça (30 ans) dispute son 4e Euro. L’heure est venue de marquer ce tournoi de son empreinte.

Glódís Viggósdóttir (Islande) – Solide derrière, précieuse à la relance et impériale dans les airs, la capitaine islandaise incarne la stabilité. Son influence sera déterminante des deux côtés du terrain.

Natalia Kuikka (Finlande) – Élue cinq fois joueuse de l’année en Finlande, la défenseure est rapide, physique et expérimentée. Face à la pression attendue, elle devra tenir la baraque.

Les deux favoris du groupe

Norvège et Suisse

Cet article a été traduit en français par une intelligence artificielle. Tu peux lire la version originale en 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 ici.

📸 FABRICE COFFRINI - AFP or licensors