Deux ans et demi de prison requis contre un joueur du Real Madrid | OneFootball

Un joueur du Real Madrid est impliqué dans une sale affaire. Selon les dernières informations de la presse espagnole, celui-ci serait plus que jamais dans le viseur de la justice. Une peine de deux ans et demi de prison aurait même été requise à son encontre.

Raul Asencio vit des moments compliqués. Révélation lors de la première partie de saison dernière, il a enchaîné les titularisations sous la houlette de Carlo Ancelotti, profitant des nombreuses blessures dans le secteur défensif. Très fiable au début, alors qu'il enchaînait les performances de haute volée, il a par la suite baissé de pied.

Une baisse de régime symbolisée lors de la Coupe du monde des clubs, où il est totalement passé à côté de son tournoi. L'horizon s'assombrit pour lui à l'heure où Dean Huijsen a été recruté et que la Maison Blanche prospecte sur le marché afin de trouver la perle rare en défense centrale avec des intérêts prononcés pour Ibrahima Konaté et William Saliba.

Deux ans et demi de prison requis contre Asencio

Outre l'aspect sportif, celui qui a récupéré le numéro 17 laissé vacant par Lucas Vazquez, fait aussi parler de lui en dehors des terrains. Dans de sales draps depuis qu'il est accusé d'avoir participé à la diffusion d'un enregistrement vidéo à caractère sexuel impliquant une mineure, la Cadena Ser nous apprend que le ministère public lui attribue deux délits contre l'intimité de deux jeunes filles, alors âgées à l'époque de 16 et 18 ans, et réclame ainsi une peine de deux ans et demi de prison.

Pour ses trois anciens coéquipiers, présents sur cette vidéo, que sont Andrés García, Ferrán Ruiz et Juan Rodríguez, c'est une peine de quatre ans et sept mois de prison pour diffusion de contenu pédopornographique qui pourrait être prononcée. Ces derniers sont accusés d'avoir filmé et diffusé à des tiers leurs relations avec les deux jeunes femmes sans leur consentement.

Le défenseur du Real Madrid n'aurait pas participé à ces relations sexuelles mais aurait néanmoins demandé la vidéo pour la montrer à un ami. Un geste qui ne peut pas rester impuni selon le procureur même si la sanction serait bien évidemment moindre par rapport aux trois autres accusés. Une affaire dont se serait bien passée la Maison Blanche...

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