De la « confiance » autour de Benjamin Pavard (ex-LOSC) à l’approche de la finale de la Ligue des Champions | OneFootball

Éloigné des terrains depuis de longues semaines, Benjamin Pavard espère pouvoir faire son retour ce samedi, lors de la finale de la Ligue des Champions. Simone Inzaghi, entraîneur de l’Inter, s’est dit confiant à son égard.

Il y a un mois, le 27 avril, Benjamin Pavard (29 ans) sortait sur blessure, touché à la cheville gauche, après un quart d’heure de jeu lors du match opposant l’Inter Milan et l’AS Rome (0-1) dans le cadre de la 34e journée de Serie A. Zeki Celik, ancien pensionnaire du LOSC, était dans le coup. Depuis, le natif de Maubeuge n’est plus apparu à une seule reprise en compétition officielle. Vendredi dernier, il manquait encore à l’appel lors de la victoire empochée par le Nerazzurri à Côme (2-0).

« Benjamin (Pavard) se remet d’une mauvaise entorse et nous essayons de le faire venir à Munich (lieu de la finale, ndlr) », confiait Massimiliano Farris, adjoint de Simone Inzaghi, aux médias italiens en conférence de presse. Il laissait ainsi planer une certaine incertitude sur sa disponibilité samedi prochain, en finale de la Ligue des Champions.

Confiance

Moins d’une semaine avant le grand frisson, le Paris Saint-Germain et l’Inter Milan se retrouvent à Munich samedi (21h) pour le match de l’année, Simone Inzaghi se présentait en conférence de presse afin d’introduire ce duel. Il a ainsi livré ses premières impressions, tout en donnant des nouvelles de ses protégés diminués. L’Italien a affiché une certaine sérénité vis-à-vis de l’état physique de Benjamin Pavard et Piotr Zielinski.

« Mon souhait est de pouvoir avoir tous les joueurs disponibles, lâchait-il en premier lieu. Il y a de la confiance pour (Benjamin) Pavard et (Piotr) Zielinski, deux joueurs qui n’étaient pas disponibles vendredi à Côme. On est très proche d’eux et on s’occupe d’eux de la meilleure façon possible. Les sensations évoluent de jour en jour. Nous allons aborder cette finale du mieux possible. Nous sommes concentrés et nous savons quel type d’adversaire nous allons affronter. » L’incertitude est toujours présente, mais l’espoir semble grand. On croise les doigts.