Dall’Oglio: « Quand je suis parti, on était 11e. Aujourd’hui, ils seraient tous contents d’être à cette place. » | OneFootball

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·22 November 2024

Dall’Oglio: « Quand je suis parti, on était 11e. Aujourd’hui, ils seraient tous contents d’être à cette place. »

Article image:Dall’Oglio: « Quand je suis parti, on était 11e. Aujourd’hui, ils seraient tous contents d’être à cette place. »

Entraineur durant quasiment une saison et demi entre 2021 et 2022, Olivier Dall’Oglio, avant ses retrouvailles avec le MHSC samedi soir, se confiait dans les colonnes du Midi Libre sur son passage dans l’Hérault:

« C’était bref, un peu court. On n’a pas eu trop le temps. Je pense que c’était une équipe qui était en transition. Quand on arrive, on perd Hilton, Laborde et Delort. L’équipe a plutôt bien fonctionné, mais perdait ces cadres de valeur.


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Il fallait reconstruire et, quand on reconstruit, il y a toujours une période de fragilité. J’aurais aimé rester un peu plus pour rebâtir. C’était l’idée principale puisque j’avais signé trois joueurs. On s’est rapproché un peu plus du centre de formation avec un travail avec les jeunes qui avait commencé. »

Article image:Dall’Oglio: « Quand je suis parti, on était 11e. Aujourd’hui, ils seraient tous contents d’être à cette place. »

(Photo by Alexandre Dimou/FEP/Icon Sport)

L’ancien coach Pailladin revient très rapidement aux cadres, probablement trop absents comme très souvent ces derniers temps malheureusement:

« L’équilibre général était là mais il fallait trouver les bons cadres. On le voit ici à Saint-Étienne, on manque de cadres. Quand il n’y en a pas, ça prend un peu plus de temps pour travailler. C’est un peu le regret que j’ai au MHSC, on ne m’a pas laissé beaucoup de temps, alors qu’on n’était pas non plus en danger. Quand je suis parti, on était 11e. Je pense qu’aujourd’hui, ils seraient tous contents d’être à cette place. »

Le quotidien régional argumente dans son sens en mettant en avant les changements d’entraineurs qui n’ont jamais cessé après son départ: « Tu peux changer douze fois de coach… Les difficultés étaient là. Il y a une transition qui devait s’opérer. Après, il y a eu quelques erreurs dans le recrutement. Il ne faut pas se tromper. Si tu prends des joueurs cadres, il faut qu’ils soient présents. Sinon, ça devient vite bancal. C’est dommage. »

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