Anderlecht rassuré pour Hatenboer | OneFootball

Selon Anderlecht Online et DHnet Football, la petite alerte autour de la santé de Cédric Hatenboer lors du match amical contre l’AEK Larnaca semble désormais maîtrisée. Victime d’une légère commotion cérébrale après une collision en première mi-temps, le défenseur néerlandais — arrivé récemment au RSC Anderlecht — avait dû quitter prématurément la pelouse, manifestement sonné et protégé par le staff médical avec un linge humide sur la tête.

Rapidement, la situation a été jugée stable par le club bruxellois. Les premiers examens menés conformément au protocole de gestion des traumatismes crâniens n’ont révélé aucune complication, et si la prudence reste de rigueur, le staff indique que “Hatenboer devrait être de retour à la normale d’ici le stage d’entraînement la semaine prochaine aux Pays-Bas”. Depuis le coup reçu, le joueur se repose sous surveillance rapprochée et sa reprise se fait par étapes, avec des examens réguliers pour écarter tout risque de séquelle.

Le RSCA n’a pas avancé de date précise pour son retour à la compétition, mais les indicateurs médicaux sont rassurants. Dans ce contexte de préparation, le club privilégie la patience : pas question de forcer les délais sur une blessure à la tête, surtout au moment où d’autres membres de l’effectif composent déjà avec des pépins physiques. Ainsi, Ludwig Augustinsson reste à l’écart pour un souci musculaire tandis qu’Alexis Flips demeure incertain à cause d’un problème au pied.

Le nouvel épisode Hatenboer, bien que mineur, rappelle la fragilité de la phase de reprise estivale à Anderlecht et la nécessité, aux yeux du staff, de gérer chaque aléa médical avec rigueur. La gestion rigoureuse des blessures montre la volonté du club d’éviter toute précipitation, dans une préparation où l’accent est mis sur la récupération et l’intégration progressive.

À trois semaines des prochaines échéances, tout porte à croire que l’effectif d'Anderlecht pourra compter sur le retour à court terme du défenseur néerlandais, à condition que le feu vert médical soit confirmé. Pour l’heure, l’infirmerie reste vigilante, consciente que la moindre rechute pourrait bousculer la hiérarchie défensive en pleine construction.