Sylvain Wiltord : « Ma réputation de fêtard ? J’ai fait 20 ans de haut niveau, de 17 ans à 38 ans, jamais un genou, une cheville… » | OneFootball

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·2. Januar 2025

Sylvain Wiltord : « Ma réputation de fêtard ? J’ai fait 20 ans de haut niveau, de 17 ans à 38 ans, jamais un genou, une cheville… »

Artikelbild:Sylvain Wiltord : « Ma réputation de fêtard ? J’ai fait 20 ans de haut niveau, de 17 ans à 38 ans, jamais un genou, une cheville… »

A l’occasion d’un diner de Noël, le « Diner des Légendes » du Stade Rennais, l’ancien attaquant des Girondins de BordeauxSylvain Wiltord, s’est exprimé sur sa réputation de fêtard.

« J’ai suis arrivé à 17 ans à Rennes, j’y ai appris mon métier, mais en même temps c’est l’adolescence, donc j’étais déjà un peu fou-fou… En fait, j’ai appris mes deux métiers (rires). Il faut être exigeant (rires). La ville rennaise est magnifique, c’est une ville étudiante… J’ai dû y connaitre ma première amoureuse. Mais la fête, c’était au bon moment. Il y avait de l’exigence. J’ai fait 20 ans de haut niveau, de 17 ans à 38 ans. Je n’ai jamais eu de pépin, pas de genou, pas de cheville, rien, tout allait bien. Oui, ce n’est pas un hasard. J’ai toujours choisi mes soirées. C’est très important. La réussite sur 20 ans… Mais encore aujourd’hui, j’adore cette ville. S’il y a encore l’exigence aujourd’hui ? Un petit peu moins, vu que je ne suis plus dans le circuit. Mais à 50 ans, je suis en pleine forme (sourire) […] Oui, j’avais une image et une réputation de fêtard, mais je me connaissais très bien. Il faut connaitre son corps. Je le redis, je n’ai eu aucun pépin physique ».

A-t-il réussi à vivre à Londres de la même façon ?


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« Oui, j’y arrivais encore mieux. Après, on jouait tous les trois jours, donc tu ne peux pas être dehors tout le temps, c’est impossible. Il y avait une certaine exigence. Mais à Londres, c’est bien aussi parce qu’il y a beaucoup d’attention, les jours de match, autour du stade, mais en dehors tu es très tranquille. Il y a beaucoup de respect par rapport à ça à Londres. Ils ne croisent, ils touchent le cœur, comme s’il y avait l’écusson. Ça suffit. Il n’y avait pas d’autographes, pas de photos… En quatre ans, sérieusement, j’ai dû signer dix autographes. Là, maintenant, aujourd’hui, quand tu fais tes courses, ils regardent dans ton caddie, ils font une photo… Ce n’est pas évident ».

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