Stade de Reims – Jean-Pierre Caillot : « Notre politique de trading reste notre ADN » | OneFootball

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·3. Juni 2025

Stade de Reims – Jean-Pierre Caillot : « Notre politique de trading reste notre ADN »

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Après la descente liée à la défaite infligée par le FC Metz au Stade Auguste-Delaune, Reims va devoir se réinventer… mais ne compte pas oublier ce qui a fait sa force par le passé. C’est donc une équipe rémoise probablement (encore) très rajeunie et encadrée d’une poignée de tauliers qui affronter la Ligue 2 2025-2026 dans quelques mois, après avoir vendu une partie de ses titulaires et joueurs aux plus gros émoluments afin de réduire sa masse salariale. Mais les décideurs du SdR ne veulent pas faire n’importe quoi et s’estiment même prêts à retenir les joueurs pour lesquels les offres ne seront pas suffisantes.


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« Il faudra des joueurs connaissant la L2 pour encadrer nos jeunes, qui n’ont connu que la Pro 2 ou la Ligue 1 », précise tout de même le président Jean-Pierre Caillot à nos confrères de l’Union. Le dirigeant, qui reconnait que la relégation sera problématique mais pas critique pour autant, annonce une réduction drastique du budget par rapport à 2024. « C’est encore tôt, mais nous avons une idée de ce que nous visons en termes de ventes, puisque les droits TV sont devenus anecdotiques et cela aurait été le cas même en Ligue 1. Nous avons estimé l’enveloppe nécessaire à l’équilibre, en sachant que notre masse salariale sera plus faible en Ligue 2. »

« Notre budget était déjà à l’équilibre avant les ventes hivernales. Ces recettes nous permettent d’aborder la prochaine saison sereinement. Il n’est pas question, pour l’instant, d’un plan de départ comme lors de notre précédente relégation. Ce serait un pas en arrière. L’idée est de conserver notre dimension administrative. Financièrement, la première année, l’impact est minime. Côté joueurs, notre politique de trading reste notre ADN. Dire qu’il y aura une vague de départs serait excessif : cela dépendra des offres. Grâce aux ventes hivernales et à la levée de l’option d’achat d’Amir Richardson, nous avons de la marge. Pas question de brader. »

Source : lunion.fr

Photo Johnny Fidelin/Icon Sport

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