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·14. Dezember 2024
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Invité à s’exprimer après son entraineur sur les interruptions de matchs ce jeudi après-midi en fin de conférence de presse avant la rencontre face à Toulouse, Ibrahim Sissoko n’a pas mâché ses mots, comme à son habitude : "Bah ça fait chier, clairement ! Ça fait chier, on s’arrête pendant plusieurs minutes à attendre, on ne sait pas ce qu’on attend, donc non c’est relou (sic) ! Déjà ça coupe le match et en plus ça fait chier tout le monde !".
Une sortie qui n’a pas fait réagir outre-mesure la dizaine de journalistes présents en salle de presse ce jour-là mais qui a rapidement pris de l’ampleur sur la toile après une reprise erronée de ses propos, notamment car sa réponse est arrivée après des questions au coach stéphanois sur les menaces de dissolution de groupes de supporters en France, révélées par le journal l’Équipe cette semaine.
Une reprise erronée des propos de Sissoko qui portait notamment sur l’utilisation des fumigènes et sur les actions des tribunes de Geoffroy-Guichard, des mots non prononcés par le concerné. Internet et les réseaux sociaux se sont chargés du reste, sur la base de cette mauvaise retranscription, le joueur a reçu une vague d’insultes.
Ce samedi après-midi, l’attaquant des Verts a publié un story sur son compte Instagram pour clarifier la situation et revenir sur ses propos en conférence de presse : "Pour clarifier les incompréhensions suite à ma conférence : ma réponse portait sur le ressenti pendant les arrêts de jeu, en aucun cas sur la pyro ou les animations, qui font la force et la richesse de nos tribunes. Je pense que vous savez mon engagement pour l'ASSE, pour nos couleurs et pour les gens qui font vivre ce club, de l'intérieur ou en dehors. Restons unis. IBRA".
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