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·27. Mai 2025

Sélections : Kalimuendo et Jacquet pas libérés pour les Espoirs, Abline appelé

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La FFF a communiqué sa listes des Espoirs pour l'Euro du 11 au 28 juin, et indiqué que Jérémy Jacquet et Arnaud Kalimuendo n'avaient pas été libérés par le Stade rennais. (…)

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La FFF a communiqué sa listes des Espoirs pour l’Euro du 11 au 28 juin, et indiqué que Jérémy Jacquet et Arnaud Kalimuendo n’avaient pas été libérés par le Stade rennais.


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L’équipe de France Espoirs se présente en Slovaquie en juin en vue de l’Euro. Gérald Baticle a à cette occasion composé sa liste des joueurs convoqués où ne figurent pas Jérémy Jacquet et Arnaud Kalimuendo, pas libérés par leur club, indique la FFF.

Jacquet et Kalimuendo sont annoncés blessés par leur club, rapporte Ouest-France. Parmi les joueurs convoqués figurent les anciens Rennais Andy Diouf (Lens), Matthis Abline (Nantes), Loum Tchaouna (Lazio Rome) et Mathys Tel (Tottenham).

  1. C’est donc ça. Tout s’explique. En tout cas on connait desormais la raison pour laquelle Kalimitétegêne nous gratifiait d’une frappe ou deux de chaton chaque week-end, il jouait blessé le pauvre. Et dire qu’ il y a des gens qui pensaient qu’il était nul. Nan mais quelle bande de mauvaises langues. Si seulement ils avaient su. Le Stade Rennais craint-il de voir son soulier dort aggraver cette vilaine blessure en disputant la Coupe d’ Europe des moins de 21 ans, et ainsi ne pas trouver le « pigeon » à qui refourguer le fort-contre-les-faibles pour une trentaine de miyons ? Quant à Jeremy, Jacquet dit tu dois te reposer. Bon bah d’accord. T’ as le droit parce que t’ as dit Jacquet dit. Par contre après va pas falloir venir nous dire des choses du genre « l’ équipe de France y’ a vraiment rien au dessus pour un footballeur ». D’ailleurs Rennes n’est pas le seul club à bloquer ses joueurs, Kroupi, actuellement à Lorient et en route pour Bournemouth, a lui aussi été rayé de la liste. C’est ballot qu’ a l’époque le SRFC ne possédait pas de directeur de la performance et encore moins de directeur du recrutement professionnel, sinon ils auraient pu pourquoi pas tenter de signer Junior. Ou conserver Abline ? Oui mais non, car en ces temps reculés, la formation, contrairement à aujourd’hui, n’était pas au cœur du projet. Pareil pour Tel. Oui voilà. Mais ça c’était avant. Maintenant, promis juré craché, la formation, véritable ADN du club, l’identité même du Stade Rennais, devient le cœur du projet Rouge et Noir. Bon après c’est pas pour jouer le casse Pouille de première, mais ses déclarations, même bafouillées et mal déglutinées à l’heure du déjeuner, doivent être suivies de faits concrets.
  2. Rodighiéro 65 28 mai à 08h34 Les dates sont mal choisies , en période de transferts , certaines personnes dirigeantes ignorent encore que le foot pro c’est de l’argent du fric du flouse et rien d’autre, en plus pour une compétition non obligatoire à libérer les joueurs, ,au moment où la majorité des clubs vont se battre avec la DNCG pour exister laisser partir les transférables ,vivre avec le risque des blessures( le championnat vient à peine de finir)et manquer une grande partie la préparation physique, cruciale pour la suite . On savait que les dirigeants du foot en général étaient des cons mais à ce niveau là ça fait peur !
  3. CondateFan 28 mai à 11h26 En revanche, si il y a bien une compétition qu’on souhaiterait retrouver assez rapidement, c’est la Coupe d’ Europe. Car je viens juste de me rendre compte que ce soir se disputait la finale de Conférence League entre Chelsea et le Betis Séville. Soit deux anciens adversaires du Stade Rennais : Chelsea en 2020 et Betis en 2019. Alors passons rapidement sur Chelsea qui, du fait de son budget de dingue et de ses clubs satellites lui permettant de disposer d’un effectif d’ à peu près un millier de joueurs se doit d’etre présent sur la scène européenne tous les ans, mais, le Betis, lui, avec son côté louseur pas sans rappeler celui de Rennes, a enfin réussi à atteindre une finale. Comme quoi, tout est possible. Le SRFC ne prenant plus part à cette compétition depuis deux ans alors qu’il y a seulement six petites années il mettait la misère aux Beticos sur leur terre. Je me rappelle, j’y étais. Et pour les nostalgiques du Villamarin, et pour tous les supporters d’une équipe qui ne gagne jamais rien -ou une fois tous les 40 ans sur un malentendu- je conseille fortement le visionnage de : They say we’re crazy/ Real Betis/ Once In a lifetime
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