Reinildo (ex-LOSC) impuissant, controverse arbitrale, l’Atlético de Madrid giflé par le PSG à la Coupe du monde des clubs | OneFootball

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Le Petit Lillois

·16. Juni 2025

Reinildo (ex-LOSC) impuissant, controverse arbitrale, l’Atlético de Madrid giflé par le PSG à la Coupe du monde des clubs

Artikelbild:Reinildo (ex-LOSC) impuissant, controverse arbitrale, l’Atlético de Madrid giflé par le PSG à la Coupe du monde des clubs

L’Atlético de Madrid et le Paris Saint-Germain faisaient simultanément leur entrée en lice ce dimanche, s’affrontant dans le choc du groupe B à la Coupe du monde des clubs. Reinildo l’a appris à ses dépens, les Parisiens ont survolé cette partie (4-0).

C’était une affiche attendue dans l’enceinte du Rose Bowl de Pasadena : le Paris Saint-Germain faisait sa première apparition sur le pré depuis sa démonstration en finale de la Ligue des Champions lors de laquelle ses hommes avaient aisément disposé de l’Inter Milan (5-0). Benjamin Pavard avait souffert, ce fut malheureusement le même dénouement pour Reinildo et l’Atlético de Madrid, les adversaires des Parisiens dans le cadre du choc du groupe B de la Coupe du monde des clubs. Ils étaient 80 619 spectateurs dans les travées.


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La rencontre

Malgré les absences de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé, le Paris Saint-Germain a déroulé à Los Angeles. Fabian Ruiz a été le premier à se mettre en évidence, concluant une superbe action collective par une frappe rasante (19′) pour l’ouverture du score. Impuissants, sans réaction, les Colchoneros n’ont jamais réagi en première période et ont même craqué une seconde fois. Laissé libre, Vitinha pouvait tranquillement ajuster Jan Oblak avant la pause (45+3′).

Il y a tout de même eu une petite frayeur au retour des vestiaires, avec une réalisation refusée après intervention du VAR. L’arbitre signalait une faute au cours de l’action. Agacés et dépassés, les Madrilènes étaient réduits à dix suite à l’expulsion de Clément Lenglet (78′). Cette différence a permis au club francilien de s’affirmer, inscrivant deux nouvelles réalisations par Mayulu (87′), suite à une erreur de Griezmann, et Lee sur penalty (90+7′).

Après Benjamin Pavard, en finale de la Ligue des Champions, c’est Reinildo qui a donc subi la loi du Paris Saint-Germain. Entré en jeu en cours de partie (62′), il a subi comme l’ensemble de ses coéquipiers (4-0). Voilà une bien délicate manière de débuter la Coupe du monde des clubs sur le continent américain, d’autant plus que celle-ci est quasiment historique : il s’agit de la quatrième défaite par quatre buts d’écart sous la direction de Simeone, après celles infligées par le Borussia Dortmund (2018), le Bayern Munich (2020) et plus récemment Benfica (2024) en Ligue des Champions.

Scandale arbitral ?

Interrogés à l’issue de cette rencontre au résultat frappant (4-0), Koke et Jan Oblak pointaient du doigt son arbitrage. À les croire, le score ne reflète pas le scénario de la partie disputée : « On savait que ce serait difficile, mais pour moi, 4-0, ce n’est pas juste. C’est un coup dur. L’équipe a essayé de pousser. On s’est créé des occasions. On a même marqué pour le 2-1, mais il a été refusé avec une faute : s’il veut la siffler, il la sifflera, et s’il ne veut pas la siffler, il ne la sifflera pas. On a tous vu ce qui s’est passé, où allaient les petits détails. Les cartons ? Vous l’avez tous vu. Certaines fautes valent un carton jaune, d’autres non, mais c’est toujours tombé du même côté », a pesté le milieu de terrain espagnol.

Son coéquipier slovène tenait un discours similaire : « À un moment clé, les décisions de l’arbitre ne nous ont pas été favorables, mais c’est le football. […] Je ne comprends pas les cartons jaunes. Le carton rouge sur Lenglet était une faute sur moi, et ensuite, il a expulsé un de nos joueurs. C’est difficile de jouer à onze contre onze face au PSG, donc les dernières minutes, à dix joueurs, ont été très compliquées », a ainsi déploré Jan Oblak.

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