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·7. Mai 2025
PSG – Arsenal : les trois parades monumentales de Donnarumma à ne pas louper

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·7. Mai 2025
Si le PSG a éliminé Arsenal et file en finale de Ligue des champions, le club de la capitale peut remercier Gianlugi Donnarumma auteur de plusieurs parades déterminantes. Le portier italien a été monumental.
Si le PSG s’est qualifié ce mercredi soir pour la finale de la Ligue des champions face à l’Inter, il le doit en grande partie à un homme : Gianluigi Donnarumma. Impérial sur sa ligne, le gardien italien a tenu bon face aux assauts répétés d’Arsenal, signant trois parades de classe mondiale face à Martinelli, Ødegaard et Saka. Retour sur ces trois moments cruciaux où "Gigio" a définitivement justifié son statut.
Dès les premières minutes, Arsenal mettait la pression sur la défense parisienne. Sur une touche longue de Partey, Gabriel Martinelli surgissait au cœur de la surface, contrôlait et frappait à bout portant. Mais Donnarumma, déjà en alerte maximale, s’interposait d’un réflexe du pied droit. Une parade qui a évité un cauchemar d'entrée au Parc des Princes. Sans cette intervention, le PSG aurait couru après le score dès la 4e minute.
Quelques instants plus tard, la menace se précisait. La défense parisienne cafouillait un ballon aérien et Ødegaard, à l’entrée de la surface, déclenchait une volée puissante du gauche. Donnarumma jaillissait, bondissait littéralement pour sortir cette frappe en lucarne d’une claquette magistrale. Un arrêt tout simplement exceptionnel, qui a fait se lever tout le Parc. Cette parade a permis à Paris de rester devant dans un moment de domination anglaise intense.
Le troisième chef-d’œuvre de la soirée venait de Bukayo Saka. L’ailier anglais, trouvé dans la surface, enroulait une frappe millimétrée du gauche qui filait droit dans la lucarne. Le public retenait son souffle… avant de rugir de soulagement : Donnarumma, dans une envolée sublime, détournait le ballon du bout des doigts. Un arrêt acrobatique et crucial, alors qu’Arsenal montait en puissance.
Grâce à ces trois interventions monumentales, Donnarumma a non seulement préservé l’avance acquise à l’aller, mais il a aussi démoralisé les Gunners, qui ont buté sur un mur infranchissable toute la soirée, jusqu'au but finale anecdotique de Saka. Si le PSG s’envole vers Munich pour disputer une nouvelle finale, il le doit d’abord à son géant italien, infranchissable et décisif.
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